Investing.com - Les options sur le brut ont retrouvé le sourire ce jeudi, avec l'espoir d'une persistance des rachats d'actifs de la part de la banque centrale des Etats-Unis, et l'augmentation des bénéfices des industries chinoises du mois dernier.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 95,88 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0,4%.
Ils avaient auparavant culminé à 96,13 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec une puossée de 0,7%.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a ainsi révélé que leur produit intérieur brut avait gonflé de 1,8% annualisés entre début janvier et fin mars, après révision vers le bas des 2,4% avancés auparavant, alors que les experts pensaient qu'il demeurerait identique à sa première évaluation.
Cette déception a apaisé l'angoisse d'une réduction de la voilure du programme de rachats d'actifs de leur banque centrale dans les mois à venir.
Ses assouplissements quantitatifs sont en effet généralement vus comme un des facteurs cruciaux d'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Les Etats-Unis comptent de leur côté rendre aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, après quoi leurs spécialistes de l'immobilier annonceront le volume des ventes de logements en cours.
Les cours ont poursuivi leur ascension après qu'une étude officielle ait montré que les bénéfices des industries chinoises avaient bondi de 15,5% annualisés en mai, améliorant les 9,3% d'avril.
L'ambiance s'est aussi trouvée éclaircie par le regain de forme des marchés financiers chinois, qui avaient montré des signes de faiblesse.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont gagné 0,5% pour grimper à 102,16 USD du baril dans le même temps, soit 6,28 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 95,88 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0,4%.
Ils avaient auparavant culminé à 96,13 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec une puossée de 0,7%.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a ainsi révélé que leur produit intérieur brut avait gonflé de 1,8% annualisés entre début janvier et fin mars, après révision vers le bas des 2,4% avancés auparavant, alors que les experts pensaient qu'il demeurerait identique à sa première évaluation.
Cette déception a apaisé l'angoisse d'une réduction de la voilure du programme de rachats d'actifs de leur banque centrale dans les mois à venir.
Ses assouplissements quantitatifs sont en effet généralement vus comme un des facteurs cruciaux d'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Les Etats-Unis comptent de leur côté rendre aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, après quoi leurs spécialistes de l'immobilier annonceront le volume des ventes de logements en cours.
Les cours ont poursuivi leur ascension après qu'une étude officielle ait montré que les bénéfices des industries chinoises avaient bondi de 15,5% annualisés en mai, améliorant les 9,3% d'avril.
L'ambiance s'est aussi trouvée éclaircie par le regain de forme des marchés financiers chinois, qui avaient montré des signes de faiblesse.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont gagné 0,5% pour grimper à 102,16 USD du baril dans le même temps, soit 6,28 USD de mieux que leurs homologues américaines.