Investing.com - Le dollar U.S. était en difficulté à la plupart de ses concurrents ce mercredi matin, mais se rapprochait d'un sommet de quatre ans par rapport à son homologue japonais, qui semblait toujours devoir subir les conséquences des assouplissements musclés initiés par son émettrice.
En première partie de séance européenne, il s'est maintenu aux abords de son pic le plus élevé depuis mai 2009 contre le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,45% pour glisser à 99,44.
La devise nippone semblait devoir poursuivre sa descente aux enfers, après que la Banque du Japon ait entamé la semaine passée un nouveau programme d'assouplissements massifs destiné à lutter contre la déflation touchant la troisième économie mondiale.
Il n'en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,12% pour grimper à 1,3098, lorgnant vers son plus haut niveau en cinq semaines.
La monnaie unique avait retrouvé le sourire grâce à l'anticipation d'une désaffection envers les obligations nippones au profit d'investissements plus rémunérateurs, tirant les coûts des emprunts du bloc euro vers le bas.
Il avait par ailleurs été montré en début de journée, que la production industrielle de la France avait rebondi en février, tandis que celle de l'Espagne subissait un net revers.
Le billet vert a par contre repris quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD laissant échapper 0,02% pour descendre à 1,5318.
La devise de la Grande-Bretagne gardait le moral après qu'il ait été souligné hier que les usines britanniques avaient connu un regain d'activité au second mois de l'année, éloignant le spectre d'une récession à triple tranchant.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF trébuchant de 0,19% pour descendre à 0,9307.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été encore plus nettement dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0,19% pour aller vers 1,0143, l'AUD/USD raflant 0,33% pour monter à 1,0522 et le NZD/USD engrangeant 0,32% pour culminer à 0,8551.
Les devises liées aux matières premières ont retrouvé du mordant après qu'une étude officielle ait montré à l'aube que la Chine avait enregistré un déficit surprise de son commerce extérieur pour mars, les importations ayant fortement augmenté, dépassant du coup les exportations.
Cette nouvelle a du coup dissipé l'angoisse d'un effondrement de la demande de la part de la seconde économie mondiale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,05% pour se situer à 82,40.
Le compte-rendu de la dernière prise de cap de la Réserve Fédérale dont la publication aura lieu cet après-midi était au centre des débats, en quête d'indices sur ses orientations futures.
Certains observateurs attendent ainsi de voir si la banque centrale américaine avait étudié lors de sa rencontre de mars la possibilité de mettre prématurément fin à son programme d'acquisitions d'actifs, comme lors des deux précédentes.
En première partie de séance européenne, il s'est maintenu aux abords de son pic le plus élevé depuis mai 2009 contre le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,45% pour glisser à 99,44.
La devise nippone semblait devoir poursuivre sa descente aux enfers, après que la Banque du Japon ait entamé la semaine passée un nouveau programme d'assouplissements massifs destiné à lutter contre la déflation touchant la troisième économie mondiale.
Il n'en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,12% pour grimper à 1,3098, lorgnant vers son plus haut niveau en cinq semaines.
La monnaie unique avait retrouvé le sourire grâce à l'anticipation d'une désaffection envers les obligations nippones au profit d'investissements plus rémunérateurs, tirant les coûts des emprunts du bloc euro vers le bas.
Il avait par ailleurs été montré en début de journée, que la production industrielle de la France avait rebondi en février, tandis que celle de l'Espagne subissait un net revers.
Le billet vert a par contre repris quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD laissant échapper 0,02% pour descendre à 1,5318.
La devise de la Grande-Bretagne gardait le moral après qu'il ait été souligné hier que les usines britanniques avaient connu un regain d'activité au second mois de l'année, éloignant le spectre d'une récession à triple tranchant.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF trébuchant de 0,19% pour descendre à 0,9307.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été encore plus nettement dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0,19% pour aller vers 1,0143, l'AUD/USD raflant 0,33% pour monter à 1,0522 et le NZD/USD engrangeant 0,32% pour culminer à 0,8551.
Les devises liées aux matières premières ont retrouvé du mordant après qu'une étude officielle ait montré à l'aube que la Chine avait enregistré un déficit surprise de son commerce extérieur pour mars, les importations ayant fortement augmenté, dépassant du coup les exportations.
Cette nouvelle a du coup dissipé l'angoisse d'un effondrement de la demande de la part de la seconde économie mondiale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,05% pour se situer à 82,40.
Le compte-rendu de la dernière prise de cap de la Réserve Fédérale dont la publication aura lieu cet après-midi était au centre des débats, en quête d'indices sur ses orientations futures.
Certains observateurs attendent ainsi de voir si la banque centrale américaine avait étudié lors de sa rencontre de mars la possibilité de mettre prématurément fin à son programme d'acquisitions d'actifs, comme lors des deux précédentes.