Investing.com - La livre sterling a rebondi vers un pic hebdomadaire face au dollar U.S. ce mardi, les signes de progrès concernant la gestion de la crise de la dette souveraine de la zone euro encourageant la demande pour les investissements plus risqués.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.557 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 13 décembre, puis s'est stabilisée vers 1.5575, prenant 0.48%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5433, son plancher du 15 décembre, et de rencontrer de la résistance à 1.5656, son plafond du 12.
Le moral des observateurs a retrouvé des couleurs après que les ministres des finances de l'Union Européenne se soient mis d'accord hier pour ajouter 150 milliards d'euros de prêts aux ressources du Fonds Monétaire International avec l'aide des pays alliés, afin de lutter contre le problème du surendettement régional.
Le Royaume-Uni a toutefois refusé de participer, laissant planer le doute sur la capacité de l'UE à atteindre les 200 milliards d'euros espérés.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, a pour sa part répété que le programme d'achats d'obligations de cette dernière était temporaire et "pas infini", prévenant que l'économie du bloc euro avait des chances de plonger en récession au début de l'année prochaine.
L'Espagne avait pour sa part prévu de mettre aux enchères des obligations à trois et six mois dans la journée, sous l'oeil attentif des acteurs des marchés.
Une étude du prêteur immobilier britannique Nationwide Building Society avait auparavant montré une progression de son indice de la confiance des consommateurs, s'élevant à 40 en novembre contre 36, son plus bas niveau historique datant du mois précédent, mais demeurait toutefois en territoire négatif.
La devise de la Grande-Bretagne a également gagné quelques pouces de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP reculant de 0.17% pour glisser à 0.8372.
Le pays avait prévu de divulguer les chiffres de ses ventes au détail en cours de journée, tandis que les Etats-Unis feraient de même concernant les permis de construire et les lancements de chantiers dans l'après-midi.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.557 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 13 décembre, puis s'est stabilisée vers 1.5575, prenant 0.48%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5433, son plancher du 15 décembre, et de rencontrer de la résistance à 1.5656, son plafond du 12.
Le moral des observateurs a retrouvé des couleurs après que les ministres des finances de l'Union Européenne se soient mis d'accord hier pour ajouter 150 milliards d'euros de prêts aux ressources du Fonds Monétaire International avec l'aide des pays alliés, afin de lutter contre le problème du surendettement régional.
Le Royaume-Uni a toutefois refusé de participer, laissant planer le doute sur la capacité de l'UE à atteindre les 200 milliards d'euros espérés.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, a pour sa part répété que le programme d'achats d'obligations de cette dernière était temporaire et "pas infini", prévenant que l'économie du bloc euro avait des chances de plonger en récession au début de l'année prochaine.
L'Espagne avait pour sa part prévu de mettre aux enchères des obligations à trois et six mois dans la journée, sous l'oeil attentif des acteurs des marchés.
Une étude du prêteur immobilier britannique Nationwide Building Society avait auparavant montré une progression de son indice de la confiance des consommateurs, s'élevant à 40 en novembre contre 36, son plus bas niveau historique datant du mois précédent, mais demeurait toutefois en territoire négatif.
La devise de la Grande-Bretagne a également gagné quelques pouces de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP reculant de 0.17% pour glisser à 0.8372.
Le pays avait prévu de divulguer les chiffres de ses ventes au détail en cours de journée, tandis que les Etats-Unis feraient de même concernant les permis de construire et les lancements de chantiers dans l'après-midi.