Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à tous ses principaux concurrents ce lundi, se trouvant encouraé pat le retour du spectre de la crise de la dette de la zone euro et des inquiétudes au sujet de la croissance mondiale.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui jusqu'à un creux hebdomadaire, l'EUR/USD perdant 0.53% pour tomber à 1.2911.
La monnaie unique s'est davantage retrouvée sur la sellette après qu'il ait été révélé que l'humeur des entreprises de l'Allemagne s'était retrouvée en septembre à son pire niveau depuis mars 2010, en raison des craintes concernant le problème du surendettement régional.
L'institut germanique Ifo pour la recherche économique a en effet révélé que son baromètre de la confiance dans les entreprises était passé de 102.3 en août à 101.4, subissant ainsi son cinquième mois de recul d'affilée, au lieu de s'élever jusqu'aux 102.5 espérés.
Le poids des incertitudes concernant l'éventuel recours de l'Espagne à un plan de secours total s'est aussi fait sentir.
La prudence restait en effet de mise, Madrid devant présenter jeudi le premier jet de son budget 2013 et annoncer des réformes économiques majeures, tandis que les résultats du test d'effort des banques nationales devraient être connus le lendemain, tandis que l'agence de notation Moody's procèdera à la révision de sa notation.
Le ministre de l'économie a pour sa part affirmé que le gouvernement ne se précipiterait pas pour demander une aide financière extérieure, bien que la pression pour le faire aille en augmentant.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.1% pour chuter à 1.621.
Le yen a toutefois exercé sa pression, l'USD/JPY déraapant de 0.25% pour se retrouver à 77.96, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.35% pour culminer à 0.9361.
Le compte-rendu de la dernière réunion de la Banque du Japon, publié en début de matinée, avait quand à lui montré que ses décideurs estimaient que les perspectives économiques mondiales étaient toujours entachées d'un anque de certitudes, et que les assouplissements monétaires devraient se poursuivre.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.39% pour monter à 0.9801, l'AUD/USD cédant 0.46% pour se retrouver à 1.0407 et le NZD/USD se laissant arracher 0.74% pour toucher le fond à 0.8226.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.36% pour se situer à 79.72.
La Grèce demeurait elle aussi source d'angoisse, alors qu'Athènes se préparait à dévoiler en fin de semaine une série de coupes budgétaires supplémentaires exigées par les bailleurs de fonds internationaux, sur fond de rumeurs d'un déficit budgétaire dépassant les hypothèses les plus pessimistes.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui jusqu'à un creux hebdomadaire, l'EUR/USD perdant 0.53% pour tomber à 1.2911.
La monnaie unique s'est davantage retrouvée sur la sellette après qu'il ait été révélé que l'humeur des entreprises de l'Allemagne s'était retrouvée en septembre à son pire niveau depuis mars 2010, en raison des craintes concernant le problème du surendettement régional.
L'institut germanique Ifo pour la recherche économique a en effet révélé que son baromètre de la confiance dans les entreprises était passé de 102.3 en août à 101.4, subissant ainsi son cinquième mois de recul d'affilée, au lieu de s'élever jusqu'aux 102.5 espérés.
Le poids des incertitudes concernant l'éventuel recours de l'Espagne à un plan de secours total s'est aussi fait sentir.
La prudence restait en effet de mise, Madrid devant présenter jeudi le premier jet de son budget 2013 et annoncer des réformes économiques majeures, tandis que les résultats du test d'effort des banques nationales devraient être connus le lendemain, tandis que l'agence de notation Moody's procèdera à la révision de sa notation.
Le ministre de l'économie a pour sa part affirmé que le gouvernement ne se précipiterait pas pour demander une aide financière extérieure, bien que la pression pour le faire aille en augmentant.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.1% pour chuter à 1.621.
Le yen a toutefois exercé sa pression, l'USD/JPY déraapant de 0.25% pour se retrouver à 77.96, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.35% pour culminer à 0.9361.
Le compte-rendu de la dernière réunion de la Banque du Japon, publié en début de matinée, avait quand à lui montré que ses décideurs estimaient que les perspectives économiques mondiales étaient toujours entachées d'un anque de certitudes, et que les assouplissements monétaires devraient se poursuivre.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.39% pour monter à 0.9801, l'AUD/USD cédant 0.46% pour se retrouver à 1.0407 et le NZD/USD se laissant arracher 0.74% pour toucher le fond à 0.8226.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.36% pour se situer à 79.72.
La Grèce demeurait elle aussi source d'angoisse, alors qu'Athènes se préparait à dévoiler en fin de semaine une série de coupes budgétaires supplémentaires exigées par les bailleurs de fonds internationaux, sur fond de rumeurs d'un déficit budgétaire dépassant les hypothèses les plus pessimistes.