Investing.com - L'euro est tombé à son pire niveau en trois jours face au dollar U.S. ce jeudi, après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait laissé entendre que de nouvelles mesures stimulatrices avaient peu de chances d'arriver une fois que le programe actuel serait achevé en fin de mois.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.4284 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas le 20 juin, puis s'est stabilisée vers 1.43, perdant 0.38%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.4126, son plancher du 17 juin, et de rencontrer de la résistance à 1.4422, son plafond du 21.
Lors de sa prise de parole ayant suivi la publication du communiqué émanant du comité fédéral des marchés ouverts, M. Bernanke n'a pas dit explicitement qu'il n'y aurait plus jamais de nouveaux stimuli, mais a bien fait savoir que les chances que l'éventualité se produise étaient extrèmement minimes.
Il a par ailleurs avoué qu'il y avait des "incertitudes" sur le temps que durerait le ralentissement récemment subi par le pays.
La banque centrale américaine continue à espérer que la croissance américaine va se reprendre en cours d'année, mais le taux appliqué aux fonds fédéraux devrait pour l'instant rester maintenu à 0.25%, sa plus faible valeur historique.
La monnaie unique a cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP dérapant de 0.26% pour tomber à 0.8907.
La zone euro devrait dévoiler en cours de journée ses informations préliminaires concernant l'activité de ses secteurs secondaire et tertiaire, et les dirigeants européens entamer le premier des deux jours du sommet économique de Bruxelles.
Le gouvernement des Etats-Unis rendra de son côté son rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres officiels des ventes de logements neufs.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.4284 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas le 20 juin, puis s'est stabilisée vers 1.43, perdant 0.38%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.4126, son plancher du 17 juin, et de rencontrer de la résistance à 1.4422, son plafond du 21.
Lors de sa prise de parole ayant suivi la publication du communiqué émanant du comité fédéral des marchés ouverts, M. Bernanke n'a pas dit explicitement qu'il n'y aurait plus jamais de nouveaux stimuli, mais a bien fait savoir que les chances que l'éventualité se produise étaient extrèmement minimes.
Il a par ailleurs avoué qu'il y avait des "incertitudes" sur le temps que durerait le ralentissement récemment subi par le pays.
La banque centrale américaine continue à espérer que la croissance américaine va se reprendre en cours d'année, mais le taux appliqué aux fonds fédéraux devrait pour l'instant rester maintenu à 0.25%, sa plus faible valeur historique.
La monnaie unique a cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP dérapant de 0.26% pour tomber à 0.8907.
La zone euro devrait dévoiler en cours de journée ses informations préliminaires concernant l'activité de ses secteurs secondaire et tertiaire, et les dirigeants européens entamer le premier des deux jours du sommet économique de Bruxelles.
Le gouvernement des Etats-Unis rendra de son côté son rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres officiels des ventes de logements neufs.