Investing.com - L4euro était en berne face au dollar U.S. ce lundi, sur fond de bruits selon lesquels l'agence Standard & Poor's pourrait rabaisser la note des dettes souveraines de la zone euro après que celle-ci se soit mise d'accord sur une plus grande intégration fiscale mais ait échoué à transcrire ce changement dans les traités.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3309 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3313, perdant 0.53%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3258, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.3381, son plafond de la session.
Les dirigeants de toute l'Union Européenne, à l'exception notable du Royaume-Uni, ont dégagé un consensus portant sur des règles budgétaires plus strictes pour le bloc euro, ainsi que sur la fourniture de 200 milliards d'euros en prêts au Fonds Monétaire International afin de porter secours aux pays surendettés.
Mais les incertitudes concernant le renforcement éventuel du rôle de la Banque Centrale Européenne dans la stabilisation des marchés obligataires régionaux ont maintenu les observateurs sur les dents.
S&P avait placé la semaine dernière 15 membres de la zone euro sous une perspective négative, notamment la France, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne, et fait savoir qu'elle annoncerait toute variation de leurs appréciations "aussitôt que possible" après le sommet de vendredi.
La monnaie unique a également perdu du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.11% pour glisser à 0.853.
L'agence de notation Moody's a pour sa part déclaré ce matin que la crise de la dette demeurait à un stade "critique" et "volatil", ajoutant que la région demeurait menacée par des risques envers sa cohésion.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3309 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3313, perdant 0.53%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3258, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.3381, son plafond de la session.
Les dirigeants de toute l'Union Européenne, à l'exception notable du Royaume-Uni, ont dégagé un consensus portant sur des règles budgétaires plus strictes pour le bloc euro, ainsi que sur la fourniture de 200 milliards d'euros en prêts au Fonds Monétaire International afin de porter secours aux pays surendettés.
Mais les incertitudes concernant le renforcement éventuel du rôle de la Banque Centrale Européenne dans la stabilisation des marchés obligataires régionaux ont maintenu les observateurs sur les dents.
S&P avait placé la semaine dernière 15 membres de la zone euro sous une perspective négative, notamment la France, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne, et fait savoir qu'elle annoncerait toute variation de leurs appréciations "aussitôt que possible" après le sommet de vendredi.
La monnaie unique a également perdu du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.11% pour glisser à 0.853.
L'agence de notation Moody's a pour sa part déclaré ce matin que la crise de la dette demeurait à un stade "critique" et "volatil", ajoutant que la région demeurait menacée par des risques envers sa cohésion.