Repsol (MC:REP) fait feu de tout bois ce jeudi et grimpe de 5,7% vers midi à Madrid. Le titre du groupe énergétique espagnol domine l'Ibex 35 après la publication de comptes du premier trimestre particulièrement encourageants.
Repsol a en effet enregistré un Ebitda de 1,027 milliard d'euros sur la période, en croissance de 6,7% comparativement aux 3 premiers mois de 2015. Autre bonne nouvelle : les activités d'exploration et de production ('upstream') ont basculé dans le vert et généré un bénéfice net de 17 millions d'euros, contre une perte de 190 millions un an auparavant.
Le 'downstream' (branche raffinage) n'a pas été en reste avec une augmentation de 4,1% de ses profits à 556 millions d'euros.
Surtout, le bénéfice net ajusté est ressorti à 572 millions d'euros, bien au-dessus de la prévision moyenne des analystes de 245 millions.
Repsol avait déjà bien terminé l'année écoulée, avec entre autres un bénéfice net ajusté qui avait bondi de 25% en glissement annuel à 461 millions d'euros au dernier trimestre.
Désireux d'assainir sa situation financière, dans un contexte de faiblesse des prix du pétrole préjudiciable, le groupe aspire à vendre certaines de ses activités jugées non-stratégiques pour un total de 6 milliards d'euros à l'horizon 2020. Les investissements vont également être réduits et 1.500 postes doivent être supprimés d'ici 2018.
Installé en Libye depuis 4 décennies, un pays où le groupe produisait quelque 340.000 barils par jour, Repsol espère par ailleurs être en mesure d'y reprendre ses activités sous réserve d'une sécurisation des sites concernés.
Bernstein a salué dans une note une publication meilleure que prévu grâce notamment à la performance solide du segment 'Upstream', pour partie due à des coûts d'exploration sensiblement inférieurs à ses attentes. La bonne dynamique du pôle 'Downstream' s'explique quant à elle par une amélioration de l'efficacité dans la chimie, estime l'intermédiaire. Et ce dernier de saluer aussi la forte génération de cash sur la période.
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Repsol a en effet enregistré un Ebitda de 1,027 milliard d'euros sur la période, en croissance de 6,7% comparativement aux 3 premiers mois de 2015. Autre bonne nouvelle : les activités d'exploration et de production ('upstream') ont basculé dans le vert et généré un bénéfice net de 17 millions d'euros, contre une perte de 190 millions un an auparavant.
Le 'downstream' (branche raffinage) n'a pas été en reste avec une augmentation de 4,1% de ses profits à 556 millions d'euros.
Surtout, le bénéfice net ajusté est ressorti à 572 millions d'euros, bien au-dessus de la prévision moyenne des analystes de 245 millions.
Repsol avait déjà bien terminé l'année écoulée, avec entre autres un bénéfice net ajusté qui avait bondi de 25% en glissement annuel à 461 millions d'euros au dernier trimestre.
Désireux d'assainir sa situation financière, dans un contexte de faiblesse des prix du pétrole préjudiciable, le groupe aspire à vendre certaines de ses activités jugées non-stratégiques pour un total de 6 milliards d'euros à l'horizon 2020. Les investissements vont également être réduits et 1.500 postes doivent être supprimés d'ici 2018.
Installé en Libye depuis 4 décennies, un pays où le groupe produisait quelque 340.000 barils par jour, Repsol espère par ailleurs être en mesure d'y reprendre ses activités sous réserve d'une sécurisation des sites concernés.
Bernstein a salué dans une note une publication meilleure que prévu grâce notamment à la performance solide du segment 'Upstream', pour partie due à des coûts d'exploration sensiblement inférieurs à ses attentes. La bonne dynamique du pôle 'Downstream' s'explique quant à elle par une amélioration de l'efficacité dans la chimie, estime l'intermédiaire. Et ce dernier de saluer aussi la forte génération de cash sur la période.
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