Bon crû semestriel pour le blanchisseur industriel Elis (PA:ELIS), dont les ventes ont été dopées par des acquisitions. Et ce n'est pas fini, puisque le rachat de Berendsen s'annonce. En outre, la croissance organique accélère légèrement et le groupe a relevé ses prévisions de marge pour la France sur l'ensemble de 2017. Ce marché domestique, le plus rentable pour Elis, concentre près de 60% de l'activité.
Elis a ainsi terminé le premier semestre 2017 sur des facturations de 845,8 millions d'euros, chiffre en hausse de 15,8% en données publiées grâce essentiellement aux acquisitions réalisées récemment. Par exemple le brésilien Lavebras, opération finalisée en mai. Rappelons aussi qu'Elis s'est mis d'accord pour racheter le britannique Berendsen, opération en cours qui va pratiquement doubler sa taille.
A données comparables, la croissance du CA accélère aussi : + 2,3% au T1, + 2,8% au T2, soit + 2,5% sur le semestre.
L'EBITDA semestriel progresse un peu moins vite que les ventes : + 12,9% à 244,1 millions, soit une marge de 28,9% contre 29,6% un an plus tôt. Stable en France, la marge a augmenté dans le reste de l'Europe (+ 60 points de base) et surtout en Amérique latine (+ 200 points de base). Mais dans ces deux dernières régions, la marge se situe toujours aux environs de 23%, contre 33,7% en France.
Enfin, le résultat net publié plie de 13,9% à 19,9 millions d'euros sur des exceptionnels. En données courantes, il s'améliore de 5,1% à 40,9 millions.
Elis, qui juge ses comptes en ligne avec ses attentes, met aussi à jour ses prévisions pour 2017 : précédemment, le CA annuel était attendu au-delà de 1,70 milliard d'euros hors Lavebras. Il est désormais anticipé à au moins 1,75 milliard d'euros, hors Berendsen. Rien de changé pour la croissance organique, qui s'annonce toujours en ligne avec celle de 2016.
Le groupe a enfin relevé ses prévisions de marge : jusqu'alors, la direction visait 'une marge d'EBITDA stable en France, et amélioration en Europe et en Amérique latine'. Désormais, Elis compte améliorer sa rentabilité partout, y compris dans l'Hexagone.
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Elis a ainsi terminé le premier semestre 2017 sur des facturations de 845,8 millions d'euros, chiffre en hausse de 15,8% en données publiées grâce essentiellement aux acquisitions réalisées récemment. Par exemple le brésilien Lavebras, opération finalisée en mai. Rappelons aussi qu'Elis s'est mis d'accord pour racheter le britannique Berendsen, opération en cours qui va pratiquement doubler sa taille.
A données comparables, la croissance du CA accélère aussi : + 2,3% au T1, + 2,8% au T2, soit + 2,5% sur le semestre.
L'EBITDA semestriel progresse un peu moins vite que les ventes : + 12,9% à 244,1 millions, soit une marge de 28,9% contre 29,6% un an plus tôt. Stable en France, la marge a augmenté dans le reste de l'Europe (+ 60 points de base) et surtout en Amérique latine (+ 200 points de base). Mais dans ces deux dernières régions, la marge se situe toujours aux environs de 23%, contre 33,7% en France.
Enfin, le résultat net publié plie de 13,9% à 19,9 millions d'euros sur des exceptionnels. En données courantes, il s'améliore de 5,1% à 40,9 millions.
Elis, qui juge ses comptes en ligne avec ses attentes, met aussi à jour ses prévisions pour 2017 : précédemment, le CA annuel était attendu au-delà de 1,70 milliard d'euros hors Lavebras. Il est désormais anticipé à au moins 1,75 milliard d'euros, hors Berendsen. Rien de changé pour la croissance organique, qui s'annonce toujours en ligne avec celle de 2016.
Le groupe a enfin relevé ses prévisions de marge : jusqu'alors, la direction visait 'une marge d'EBITDA stable en France, et amélioration en Europe et en Amérique latine'. Désormais, Elis compte améliorer sa rentabilité partout, y compris dans l'Hexagone.
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