PARIS (Reuters) - Au paragraphe trois, bien lire "résidant"
Quatre personnes ont été relâchées dans l'enquête sur le vol à main armée dont a été victime la vedette de télé-réalité américaine Kim Kardashian début octobre 2016 à Paris, pour lequel dix personnes se trouvaient toujours jeudi en garde à vue, a-t-on appris de source judiciaire.
Au total, dix-sept personnes, interpellées en région parisienne, dans les Alpes Maritimes et près de Rouen (Seine-Maritime) avaient été placées en garde à vue lundi dans le cadre de l'enquête ouverte notamment pour "vol avec arme en bande organisée".
Le frère du chauffeur embauché pour transporter la starlette dans Paris pendant la Fashion week à laquelle elle participait, était toujours en garde à vue jeudi, a précisé la source judiciaire, tout comme un homme de 72 ans, résidant à Grasse (Alpes-Maritimes).
Les agresseurs de Kim Kardashian s'étaient introduits dans la nuit du 2 au 3 octobre dans l'hôtel particulier du VIIIe arrondissement de Paris où elle séjournait et avaient dérobé pour une dizaine de millions d'euros de bijoux.
Sous le choc mais indemne, la vedette de téléréalite de 36 ans avait quitté la France le matin même, dès la fin de son audition par les enquêteurs de la Brigade de répression du banditisme.
Les bijoux de la star, en particulier la bague à 4 millions de dollars offerte par son mari Kanye West, restent pour le moment introuvables.
(Chine Labbé, édité par Yves Clarisse)