Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en net recul ce lundi, suivant le mouvement mondial de baisse des actions sur fond de crainte d'un défaut de paiement grec, poussant les investisseurs à éviter les valeurs les plus risquées.
Avant celle-ci, les options sur le Dow Jones prévoyaient 1.5% de pertes, celles sur le S&P 500 les estimant à 1.55% et celles sur le Nasdaq 100 à 1.45%.
Des médias allemands avaient en effet rapporté en fin de semaine que le ministère des finances germanique étudierait l'impact d'un éventuel manquement aux obligations grecques, y compris un scénario dans lequel le pays surendetté quitterait la zone euro et réintroduirait le drachme.
La nervosité des observateurs a encore été accentuée par l'information du Wall Street Journal selon laquelle les plus grosses banques françaises pourraient voir leur notation attribuée par l'agence Moody's Investor Services rabaissée en cours de semaine, en raison de leur vulnérabilité à la dette grecque.
La finance s'en est trouvé secouée sur le marché pré-ouverture, se trouvant malmenée comme ses homologues du reste du monde, Bank of America plongeant de 4%, Citigroup de 3.9% et les actions cotées aux Etats-Unis de la Banque Nationale Grecque de 9.65%.
Celles du néerlandais ING Groep ont dégringolé de 7.4% de leur côté après le Wall Street Journal ait fait savoir que la Réserve Fédérale examinait la proposition d'acquisition de la branche internet américaine du groupe par le Capital One Financial Group.
Il y avait toutefois des nouvelles plus réjouissantes, notamment du côté de NetLogic Microsystems, fournisseur de semiconducteurs, s'envolant de 50.3% après avoir accepté d'être racheté par son rival dominateur Broadcom, avec un accord s'élevant à près de 3.7 milliards d'USD, les parts du second se trouvant toutefois écornées de 1.3%.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter McGraw-Hill, spécialiste de la fourniture d'informations, qui avait annoncé un plan de partage de ses activités concernant l'éducation et les marchés en deux entités distinctes.
En Europe, les bourses ont quand à elles subi une plongée profonde, les prêteurs français s'effondrant sur fond de crainte de dégradation imminente.
L'EURO STOXX 50 s'est effondré de 4.5%, le CAC 40 français de 4.8%, le DAX allemand de 3.7% et le FTSE 100 britannique de 2.5%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 4.2%, et le Nikkei 225 japonais 2.3%, pour s'établir à son pire niveau en deux ans et demi, les exportateurs nationaux se trouvant en mauvaise posture.
Richard Fisher, président de la réserve fédérale de Dallas, devrait par ailleurs prendre la parole dans cette ville à propos de politique monétaire, et ses propos seront décortiqués en détail afin de tenter d'y glaner des indices sur la direction que prendra la politique monétaire à l'avenir.
Avant celle-ci, les options sur le Dow Jones prévoyaient 1.5% de pertes, celles sur le S&P 500 les estimant à 1.55% et celles sur le Nasdaq 100 à 1.45%.
Des médias allemands avaient en effet rapporté en fin de semaine que le ministère des finances germanique étudierait l'impact d'un éventuel manquement aux obligations grecques, y compris un scénario dans lequel le pays surendetté quitterait la zone euro et réintroduirait le drachme.
La nervosité des observateurs a encore été accentuée par l'information du Wall Street Journal selon laquelle les plus grosses banques françaises pourraient voir leur notation attribuée par l'agence Moody's Investor Services rabaissée en cours de semaine, en raison de leur vulnérabilité à la dette grecque.
La finance s'en est trouvé secouée sur le marché pré-ouverture, se trouvant malmenée comme ses homologues du reste du monde, Bank of America plongeant de 4%, Citigroup de 3.9% et les actions cotées aux Etats-Unis de la Banque Nationale Grecque de 9.65%.
Celles du néerlandais ING Groep ont dégringolé de 7.4% de leur côté après le Wall Street Journal ait fait savoir que la Réserve Fédérale examinait la proposition d'acquisition de la branche internet américaine du groupe par le Capital One Financial Group.
Il y avait toutefois des nouvelles plus réjouissantes, notamment du côté de NetLogic Microsystems, fournisseur de semiconducteurs, s'envolant de 50.3% après avoir accepté d'être racheté par son rival dominateur Broadcom, avec un accord s'élevant à près de 3.7 milliards d'USD, les parts du second se trouvant toutefois écornées de 1.3%.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter McGraw-Hill, spécialiste de la fourniture d'informations, qui avait annoncé un plan de partage de ses activités concernant l'éducation et les marchés en deux entités distinctes.
En Europe, les bourses ont quand à elles subi une plongée profonde, les prêteurs français s'effondrant sur fond de crainte de dégradation imminente.
L'EURO STOXX 50 s'est effondré de 4.5%, le CAC 40 français de 4.8%, le DAX allemand de 3.7% et le FTSE 100 britannique de 2.5%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 4.2%, et le Nikkei 225 japonais 2.3%, pour s'établir à son pire niveau en deux ans et demi, les exportateurs nationaux se trouvant en mauvaise posture.
Richard Fisher, président de la réserve fédérale de Dallas, devrait par ailleurs prendre la parole dans cette ville à propos de politique monétaire, et ses propos seront décortiqués en détail afin de tenter d'y glaner des indices sur la direction que prendra la politique monétaire à l'avenir.