Investing.com - La livre sterling s'est élevée vers un sommet de six semaines face au dollar U.S. ce mercredi matin, suite à la diffusion des bons chiffres de l'emploi du Royaume-Uni, à l'approche des déclarations de la Réserve Fédérale de fin de journée.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.614 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le premier novembre, puis s'est stabilisée vers 1.6138, prenant 0.16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6068, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1.6174, son plafond du premier novembre.
La banque centrale américaine devrait vraisemblablement annoncer de nouvelles mesures destinées à remplacer l'Opération Twist, qui prend fin ce mois-ci, en conclusion de sa prise de cap d'aujourd'hui, hypothèse qui a freiné le billet vert.
La devise de la Grande-Bretagne a quand à elle rebondi après qu'une étude officielle ait montré pour novembre une diminution inattendue du nombre des bénéficiaires des aides aux demandeurs d'emploi britanniques, tandis que celui des salariés battait tous les records.
Le bureau national des statistiques a en effet constaté 5 000 demandeurs d'emploi en moins, alors que 7 000 supplémentaires étaient redoutés, tandis que l'augmentation d'octobre se trouvait révisée à la baisse depuis 10 100 vers 6 000.
Le taux de chômage restait par contre stable à 7.8%, conformément aux prédictions.
Le total des employés s'est quand à lui élevé à 29.601 millions de personnes, du jamais vu depuis la mise en place de cet indicateur en 1971.
La monnaie à l'effigie de la reine a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.03% pour glisser à 0.8067.
La zone euro comptait de son côté diffuser à la mi-journée les chiffres de sa production industrielle.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.614 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le premier novembre, puis s'est stabilisée vers 1.6138, prenant 0.16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6068, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1.6174, son plafond du premier novembre.
La banque centrale américaine devrait vraisemblablement annoncer de nouvelles mesures destinées à remplacer l'Opération Twist, qui prend fin ce mois-ci, en conclusion de sa prise de cap d'aujourd'hui, hypothèse qui a freiné le billet vert.
La devise de la Grande-Bretagne a quand à elle rebondi après qu'une étude officielle ait montré pour novembre une diminution inattendue du nombre des bénéficiaires des aides aux demandeurs d'emploi britanniques, tandis que celui des salariés battait tous les records.
Le bureau national des statistiques a en effet constaté 5 000 demandeurs d'emploi en moins, alors que 7 000 supplémentaires étaient redoutés, tandis que l'augmentation d'octobre se trouvait révisée à la baisse depuis 10 100 vers 6 000.
Le taux de chômage restait par contre stable à 7.8%, conformément aux prédictions.
Le total des employés s'est quand à lui élevé à 29.601 millions de personnes, du jamais vu depuis la mise en place de cet indicateur en 1971.
La monnaie à l'effigie de la reine a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.03% pour glisser à 0.8067.
La zone euro comptait de son côté diffuser à la mi-journée les chiffres de sa production industrielle.