Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi matin, établissant même un pic de six mois par rapport à son homologue nippon, sur fond de rumeurs persistantes de réduction des aides de son émettrice, et de désaffection pour les valeurs sûres après que les grandes puissances occidentales aient trouvé un terrain d'entente avec le pouvoir iranien.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,43% pour se hisser de 101,25 à 101,70, son niveau le plus élevé depuis le 29 mai.
Il gardait des couleurs après que les décideurs de la Réserve Fédérale aient une nouvelle fois rappelé que celle-ci pourrait bientôt envisager la possibilité de réduire la voilure de ses rachats d'actifs.
Son adversaire demeurait quand à lui sur la sellette, Haruhiko Kuroda, nouveau gouverneur de la Banque du Japon, ayant de nouveau déclaré à l'aube que celle-ci s'en tiendrait à ses plans d'apports massifs de capitaux, mais demeurait cependant prête à prendre toutes les mesures nécessaires pour atteindre les 2% d'inflation visés.
Son blason en tant que valeur refuge s'est aussi trouvé terni après que les Etats-Unis et cinq autres partenaires aient pu conclure à Genève un "premier accord" visant à limiter les ambitions nucléaires de Téhéran en l'échange d'un assouplissement des sanctions économiques touchant l'Iran.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,22% pour tomber à 1,6188.
La monnaie unique s'est retrouvée sur la défensive après que Ardo Hansson, membre du conseil de direction de la Banque Centrale Européenne, ait confirmé en début de journée qu'elle était techniquement prête à appliquer des taux d'intéret négatifs.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,22% pour chuter à 1,6188.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,33% pour culminer à 0,9099.
Les autorités helvètes avaient auparavant compté 4,20 millions de salariés au troisième trimestre, une amélioration sans surprise des 4,17 millions précédents.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD cédant 0,34% pour se retrouver à 0,9138, le NZD/USD arrachant 0,14 % pour culminer à 0,8196 et l'USD/CAD prenant 0,39% pour monter à 1,0558.
La première naviguait aux abords de son gouffre le plus profond en 11 semaines, après que Glenn Stevens, gouverneur de la Réserve Bancaire d'Australie, ait déclaré que cette dernière estimait que des interventions sur le marché des changes pour affaiblir sa monnaie pourraient se justifier.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,29% pour se situer à 80,93.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,43% pour se hisser de 101,25 à 101,70, son niveau le plus élevé depuis le 29 mai.
Il gardait des couleurs après que les décideurs de la Réserve Fédérale aient une nouvelle fois rappelé que celle-ci pourrait bientôt envisager la possibilité de réduire la voilure de ses rachats d'actifs.
Son adversaire demeurait quand à lui sur la sellette, Haruhiko Kuroda, nouveau gouverneur de la Banque du Japon, ayant de nouveau déclaré à l'aube que celle-ci s'en tiendrait à ses plans d'apports massifs de capitaux, mais demeurait cependant prête à prendre toutes les mesures nécessaires pour atteindre les 2% d'inflation visés.
Son blason en tant que valeur refuge s'est aussi trouvé terni après que les Etats-Unis et cinq autres partenaires aient pu conclure à Genève un "premier accord" visant à limiter les ambitions nucléaires de Téhéran en l'échange d'un assouplissement des sanctions économiques touchant l'Iran.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,22% pour tomber à 1,6188.
La monnaie unique s'est retrouvée sur la défensive après que Ardo Hansson, membre du conseil de direction de la Banque Centrale Européenne, ait confirmé en début de journée qu'elle était techniquement prête à appliquer des taux d'intéret négatifs.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,22% pour chuter à 1,6188.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,33% pour culminer à 0,9099.
Les autorités helvètes avaient auparavant compté 4,20 millions de salariés au troisième trimestre, une amélioration sans surprise des 4,17 millions précédents.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD cédant 0,34% pour se retrouver à 0,9138, le NZD/USD arrachant 0,14 % pour culminer à 0,8196 et l'USD/CAD prenant 0,39% pour monter à 1,0558.
La première naviguait aux abords de son gouffre le plus profond en 11 semaines, après que Glenn Stevens, gouverneur de la Réserve Bancaire d'Australie, ait déclaré que cette dernière estimait que des interventions sur le marché des changes pour affaiblir sa monnaie pourraient se justifier.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,29% pour se situer à 80,93.