Investing.com - La livre sterling a pris l'avantage sur le dollar U.S. lors des échanges sans heurts de ce mardi, après que de hauts responsables de l'émettrice de ce dernier aient rappelé que la fin imminente de ses perfusions de capitaux n'était qu'une possibilité et non une certitude comme certains semblaient affirmer.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5463 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5451, grignotant 0,11%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5367, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,5528, son plafond datant du même jour.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a en effet confirmé hier que la banque centrale des Etats-Unis demeurait engagée dans son programme de rachats d'actifs jusqu'à ce que le chômage américain soit ramené à un niveau bien plus bas que l'actuel.
Richard Fisher, son homologue pour Dallas a confirmé que l'agitation à ce sujet était infondée.
Ben Bernanke, président de la Fed, avait pourtant savamment attisé les rumeurs, affirmant mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de liquidités avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
L'avancée de la devise de la Grande-Bretagne demeurait jugulée par le spectre d'un assèchement des flux dans le marché financier de la Chine, encourageant les valeurs refuge.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine a par ailleurs à peine pris l'avantage sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,07% pour glisser à 0,8492.
Les Etats-Unis comptent de leur côté achever la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi qu'avec deux études sur la confiance des ménages et les ventes de logements neufs.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5463 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5451, grignotant 0,11%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5367, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,5528, son plafond datant du même jour.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a en effet confirmé hier que la banque centrale des Etats-Unis demeurait engagée dans son programme de rachats d'actifs jusqu'à ce que le chômage américain soit ramené à un niveau bien plus bas que l'actuel.
Richard Fisher, son homologue pour Dallas a confirmé que l'agitation à ce sujet était infondée.
Ben Bernanke, président de la Fed, avait pourtant savamment attisé les rumeurs, affirmant mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de liquidités avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
L'avancée de la devise de la Grande-Bretagne demeurait jugulée par le spectre d'un assèchement des flux dans le marché financier de la Chine, encourageant les valeurs refuge.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine a par ailleurs à peine pris l'avantage sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,07% pour glisser à 0,8492.
Les Etats-Unis comptent de leur côté achever la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi qu'avec deux études sur la confiance des ménages et les ventes de logements neufs.