Le match avait bien commencé. D’entrée, les Banques centrales avaient pris l’ascendant sur leur adversaire, l’inflation, en envoyant de fortes hausses de taux qui avaient un peu assommé l’adversaire. Si bien qu’à la mi-temps, les Banques centrales, confortées par leur avance, avaient lâché un peu de lest.