KinderCare Learning Companies, un fournisseur de services d'éducation de la petite enfance, a annoncé son intention d'atteindre une valorisation allant jusqu'à 3,09 milliards de dollars lors de sa prochaine introduction en bourse (IPO) aux États-Unis. L'entreprise basée dans l'Oregon, qui exploite plus de 2.000 établissements à travers les États-Unis, prévoit d'offrir 24 millions d'actions à un prix compris entre 23 et 27 dollars chacune, visant à lever jusqu'à 648 millions de dollars.
Cette démarche vers une cotation en bourse intervient après une tentative précédente en 2021 qui avait été retardée en raison de problèmes réglementaires, et une décision finale d'abandonner les projets d'IPO l'année dernière. L'entreprise, âgée de 55 ans, avec des marques telles que KCLC, Crème School et Champions, fournit des services pour les enfants de six semaines à 12 ans.
Cette IPO marque une étape importante sous la direction du PDG Paul Thompson, qui a pris les rênes en juin, succédant à Tom Wyatt après son mandat de 12 ans. La société suisse de capital-investissement Partners Group, qui a acquis KinderCare en 2015, conservera une participation de 71,1%, restant l'actionnaire majoritaire après l'IPO.
KinderCare, qui est en concurrence avec des entités comme Bright Horizons (NYSE:BFAM), Kiddie Academy et Primrose Schools, s'est considérablement développée depuis l'ouverture de son premier établissement en 1969. La croissance de l'entreprise a inclus l'acquisition du fournisseur de services de garde d'enfants et d'apprentissage précoce haut de gamme Crème School en 2022.
Les fonds levés lors de l'IPO sont destinés à la réduction de la dette, selon le dossier réglementaire de l'entreprise. L'offre est soutenue par un consortium de plus de dix banques de Wall Street, dont Goldman Sachs (NYSE:GS), Morgan Stanley (NYSE:MS), Barclays (LON:BARC) et J.P. Morgan.
KinderCare sera cotée à la Bourse de New York sous le symbole boursier "KLC".
Reuters a contribué à cet article.
Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.