Investing.com - Les bourses d'Asie ne savaient sur quel pied danser ce mardi, les opérateurs préfèrant rester sur la touche en raison des incertitudes dûes au scrutin présidentiel des Etats-Unis qui débutera dans l'après-midi.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong chutait de 0.25%, mais l'ASX/200 australien arrachait 0.25% et le Nikkei 225 japonais flanchait de 0.35%.
Les valeurs risquées se trouvaient en effet boudées avant l'ouverture des urnes américaines, les sondages indiquant que le candidat sortant Barack Obama et son concurrent républicain Mitt Romney se trouveraient au coude-à-coude.
La Grèce était aussi sur le devant de la scène, alors que ses représentants s'apprêtaient à adopter ou non les mesures draconiennes sans lesquelles Athènes se retrouverait privée de sa bouée de sauvetage internationale.
L'attente était également forte à l'approche du dix-huitième congrès du parti communiste chinois de jeudi, au cours duquel un changement décennal de direction est prévu.
A Tokyo, les grands noms de l'exportation étaient sur la sellette après que le yen ait pris le dessus face au dollar U.S. et ainsi mis un frein aux perspectives de revenus provenant de l'étranger.
Sony, fournisseur de matériel électronique grand public, a ainsi perdu 1.3%, suivi des constructeurs automobiles Nissan et Honda avec respectivement 2 et 1%.
Mais tout nétait cependant pas désespéré, Toyota grimpant de 0.9% grâce à la revendication de rentrées en hausse et de prévisions de bénéfices améliorées après la clôture d'hier.
Pendant ce temps, Hong Kong sauvait les meubles, le changement imminent de direction de la Chine et le spectre de l'élection américaine poussant les investisseurs dans les bras des valeurs sûres.
HSBC Holdings, un des plus gros acteurs locaux, a dérapé de 1.2% suite à l'effondrement de 52% subi par ses revenus nets, invoquant des provisionnements renforcés pour faire face à l'enquête sur d'éventuels blanchiments d'argent menée par les Etats-Unis.
Ses évolutions comptent pour 15% de l'indice chinois, et constituant donc son premier facteur déterminant.
Sydney nageait une fois de plus à cnte-courant, après que la Réserve Bancaire d'Australie ait décidé de maintenir son taux d'intérêt directeur à 3.25%, face à la hausse de l'inflation nationale et à l'amélioration de l'économie mondiale.
La "bande des quatre" plus grosses banques a avancé de concert, la National Australia Bank engrangeant 0.85% et le Westpac Banking Group 0.7%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui modestement positif, les yeux braqués sur les élections américaines et le vote parlementaire grec sur le plan d'austérité nécessaire à l'attribution de la prochaine tranche d'aides.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient du coup une hausse de 0.25%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.25 également%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.3% et sur le FTSE 100 britannique à 0.2%.
L'Allemagne comptait de son côté révéler à la mi-journée le volume des commandes auprès des usines qu'elle aura mesuré, tandis que l'Espagne et l'Italie fourniront leurs informations officieles concernant l'activité de leur secteur tertiaire.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong chutait de 0.25%, mais l'ASX/200 australien arrachait 0.25% et le Nikkei 225 japonais flanchait de 0.35%.
Les valeurs risquées se trouvaient en effet boudées avant l'ouverture des urnes américaines, les sondages indiquant que le candidat sortant Barack Obama et son concurrent républicain Mitt Romney se trouveraient au coude-à-coude.
La Grèce était aussi sur le devant de la scène, alors que ses représentants s'apprêtaient à adopter ou non les mesures draconiennes sans lesquelles Athènes se retrouverait privée de sa bouée de sauvetage internationale.
L'attente était également forte à l'approche du dix-huitième congrès du parti communiste chinois de jeudi, au cours duquel un changement décennal de direction est prévu.
A Tokyo, les grands noms de l'exportation étaient sur la sellette après que le yen ait pris le dessus face au dollar U.S. et ainsi mis un frein aux perspectives de revenus provenant de l'étranger.
Sony, fournisseur de matériel électronique grand public, a ainsi perdu 1.3%, suivi des constructeurs automobiles Nissan et Honda avec respectivement 2 et 1%.
Mais tout nétait cependant pas désespéré, Toyota grimpant de 0.9% grâce à la revendication de rentrées en hausse et de prévisions de bénéfices améliorées après la clôture d'hier.
Pendant ce temps, Hong Kong sauvait les meubles, le changement imminent de direction de la Chine et le spectre de l'élection américaine poussant les investisseurs dans les bras des valeurs sûres.
HSBC Holdings, un des plus gros acteurs locaux, a dérapé de 1.2% suite à l'effondrement de 52% subi par ses revenus nets, invoquant des provisionnements renforcés pour faire face à l'enquête sur d'éventuels blanchiments d'argent menée par les Etats-Unis.
Ses évolutions comptent pour 15% de l'indice chinois, et constituant donc son premier facteur déterminant.
Sydney nageait une fois de plus à cnte-courant, après que la Réserve Bancaire d'Australie ait décidé de maintenir son taux d'intérêt directeur à 3.25%, face à la hausse de l'inflation nationale et à l'amélioration de l'économie mondiale.
La "bande des quatre" plus grosses banques a avancé de concert, la National Australia Bank engrangeant 0.85% et le Westpac Banking Group 0.7%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui modestement positif, les yeux braqués sur les élections américaines et le vote parlementaire grec sur le plan d'austérité nécessaire à l'attribution de la prochaine tranche d'aides.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient du coup une hausse de 0.25%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.25 également%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.3% et sur le FTSE 100 britannique à 0.2%.
L'Allemagne comptait de son côté révéler à la mi-journée le volume des commandes auprès des usines qu'elle aura mesuré, tandis que l'Espagne et l'Italie fourniront leurs informations officieles concernant l'activité de leur secteur tertiaire.