Investing.com - Les places de l'Asie étaient largement en berne ce mardi matin, les valeurs japonaises voyant fondre leurs gains de l'ouverture après que la Banque du Japon n'ait que modestement renforcé son programme d'acquisitions.
Le moral demeurait affecté par l'ouragan Sandy, dont la trajectoire le long de la côte est des Etats-Unis faisait l'objet de toutes les attentions, les marchés américains demeurant clos pour la seconde journée d'affilée en raison des problèmes qui pourraient en résulter.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong laissait échapper 0.65%, l'ASX/200 australien arrachant cependant 0.2% tandis que le Nikkei 225 japonais plongeait de 1%.
Tokyo est en effet retrouvée sous pression après que la Banque du Japon ait décidé d'ajouter 11 billions de JPY à son programme de rachat d'actifs pour amener son principal outil d'influence monétaire depuis octobre 2010 à 66 billions.
Elle a par contre déclaré dans son communiqué maintenir son taux de base dans sa fouchette précédente entre 0 et 0.1%.
La devise nationale s'est du coup élevée vers un sommet hebdomadaire face au dollar U.S. en raison de l'anticipation de mesures plus importantes.
Les grands noms de l'exportation se sont alors retrouvés sur la défensive, les constructeurs automobiles Nissan et Mazda dérapant respectivement de 2.6 et 3.2%, tandis que le poids lourd de l'électronique grand publique qu'est Sony les imitait avec 1.3%.
Tout n'était cependant pas désespéré, Sharp rebondissant de 6.2% alors qu'il se disait que des investissements pourraient être en cours de négociation avec Apple, Google et Microsoft.
A Hong Kong, les promoteurs immobiliers étaient encore les lanternes rouges pour la seconde session d'affilée, après la mise en place d'une taxe de 15% sur les achats immobiliers effectués par les étrangers ou les entreprises, destinée à juguler la fièvre touchant ce domaine.
Sino Land shares a ainsi sombré de 0.6%, et Sun Hung Kai de 0.5%, New World Development se retrouvant en queue de peloton avec 3.4%.
La finance ne faisait pas mieux, l'Industrial and Commercial Bank of China reculant de 2%, la China Construction Bank de 1.4%, et la Bank of China de 1.6%.
Le géant HSBC Holdings, premier établissement bancaire en Europe, comptant pour 15% de l'indice, et constituant donc son premier facteur déterminant, a toutefois limité les dégâts à 0.75%.
A Sydney, l'ASX gardait le sourire dans le sillage des bonnes performances de Virgin Australia Holdings.
La compagnie aérienne avait engrangé 5.4% après que Singapore Airlines en ait acheté 10% pour près de 105 millions d'AUD, et qu'elle ait fait savoir qu'elle avait elle-même acquis 60% de son rival national Tiger Airways Australia et formulé une offre de prise de contrôle pour l'acteur régional Skywest Airlines.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt optimiste, toujours à l'affût de signes qui montreraient que l'Espagne s'apprêterait enfin à recourir à la bouée de sauvetage tendue par ses partenaires du bloc euro et ainsi activer le plan de rachat d'actifs par la Banque Centrale Européenne.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0.25%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.2%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.3% et sur le FTSE 100 britannique à 0.15%.
Rome s'apprêtait pour sa part à émettre jusqu'à 7 milliards d'euros d'obligations à la mi-journée, mais la nervosité demeurait palpable suite aux menaces de renversement de son gouvernement brandies par l'ancien premier ministre Silvio Berlusconi.
Le moral demeurait affecté par l'ouragan Sandy, dont la trajectoire le long de la côte est des Etats-Unis faisait l'objet de toutes les attentions, les marchés américains demeurant clos pour la seconde journée d'affilée en raison des problèmes qui pourraient en résulter.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong laissait échapper 0.65%, l'ASX/200 australien arrachant cependant 0.2% tandis que le Nikkei 225 japonais plongeait de 1%.
Tokyo est en effet retrouvée sous pression après que la Banque du Japon ait décidé d'ajouter 11 billions de JPY à son programme de rachat d'actifs pour amener son principal outil d'influence monétaire depuis octobre 2010 à 66 billions.
Elle a par contre déclaré dans son communiqué maintenir son taux de base dans sa fouchette précédente entre 0 et 0.1%.
La devise nationale s'est du coup élevée vers un sommet hebdomadaire face au dollar U.S. en raison de l'anticipation de mesures plus importantes.
Les grands noms de l'exportation se sont alors retrouvés sur la défensive, les constructeurs automobiles Nissan et Mazda dérapant respectivement de 2.6 et 3.2%, tandis que le poids lourd de l'électronique grand publique qu'est Sony les imitait avec 1.3%.
Tout n'était cependant pas désespéré, Sharp rebondissant de 6.2% alors qu'il se disait que des investissements pourraient être en cours de négociation avec Apple, Google et Microsoft.
A Hong Kong, les promoteurs immobiliers étaient encore les lanternes rouges pour la seconde session d'affilée, après la mise en place d'une taxe de 15% sur les achats immobiliers effectués par les étrangers ou les entreprises, destinée à juguler la fièvre touchant ce domaine.
Sino Land shares a ainsi sombré de 0.6%, et Sun Hung Kai de 0.5%, New World Development se retrouvant en queue de peloton avec 3.4%.
La finance ne faisait pas mieux, l'Industrial and Commercial Bank of China reculant de 2%, la China Construction Bank de 1.4%, et la Bank of China de 1.6%.
Le géant HSBC Holdings, premier établissement bancaire en Europe, comptant pour 15% de l'indice, et constituant donc son premier facteur déterminant, a toutefois limité les dégâts à 0.75%.
A Sydney, l'ASX gardait le sourire dans le sillage des bonnes performances de Virgin Australia Holdings.
La compagnie aérienne avait engrangé 5.4% après que Singapore Airlines en ait acheté 10% pour près de 105 millions d'AUD, et qu'elle ait fait savoir qu'elle avait elle-même acquis 60% de son rival national Tiger Airways Australia et formulé une offre de prise de contrôle pour l'acteur régional Skywest Airlines.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt optimiste, toujours à l'affût de signes qui montreraient que l'Espagne s'apprêterait enfin à recourir à la bouée de sauvetage tendue par ses partenaires du bloc euro et ainsi activer le plan de rachat d'actifs par la Banque Centrale Européenne.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0.25%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.2%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.3% et sur le FTSE 100 britannique à 0.15%.
Rome s'apprêtait pour sa part à émettre jusqu'à 7 milliards d'euros d'obligations à la mi-journée, mais la nervosité demeurait palpable suite aux menaces de renversement de son gouvernement brandies par l'ancien premier ministre Silvio Berlusconi.