Investing.com - La Bourse de Paris progressait de 0,48% à mi-séance mardi, confirmant son avancée de la semaine dernière grâce à une remontée des valeurs industrielles alors que les volumes d’échange restaient limités pour cause de trêve des confiseurs.
Le gouvernement français a annoncé lundi soir que le taux de chômage avait atteint son niveau le plus élevé en 12 ans, alors que le risque de dégradation du précieux Triple A français continuait de planer.
Par ailleurs, les mises en chantier de logements en France ont progressé de 1,7% au mois de novembre par rapport à octobre. Sur douze mois, elles ont rebondi de 20,2%. Le nombre de permis de construire accordés en novembre est quant à lui resté stable sur un mois.
Les plus fortes hausses de l’indice parisien ont été enregistrées par les entreprises industrielles à mi-séance. Schneider Electric grimpait de 1,49%, Legrand de 1,21% et ArcelorMittal de 1,07%.
EDF évoluait de 0,60% après avoir annoncé qu'un nouvel accord de principe portera la part du groupe, qui détient actuellement 50% d'Edison, à 80,7% du capital, moyennant 700 millions d'euros d'apport.
Total a gagné 0,73% en amont d’une réunion prévue jeudi avec Gazprom et le norvégien Statoil pour décider du lancement de la première tranche du projet gazier Shtokman, selon la Tribune.
France Télécom avançait, par ailleurs, de 0,33% suite à l’annonce, samedi, d’un accord avec le fonds d'investissement Apax Partners pour la reprise de sa filiale mobile Orange Suisse, pour un montant de 1,6 milliard d'euros.
Quant aux valeurs financières, elles évoluaient en ordre dispersé. BNP Paribas s’adjugeait 1,20% à mi-séance, tandis que Société Générale et Crédit Agricole reculaient de 0,98% et de 1,14% respectivement.
Enfin, les valeurs cycliques se trouvaient en zone négative, à l’image d’Alcatel Lucent qui perdait 1,61% et STMicroelctronics, en baisse de 0,44%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 avançait de 0,42%, le DAX30 allemand progressait de 0,43% et le Footsie 100 londonien était fermé pour cause de congés de Noël prolongé.
Le taux des obligations italiennes à dix ans a franchi le seuil jugé dangereux de 7% dans la matinée de mardi, faisant à nouveau craindre une dégradation de la crise de la dette souveraine dans la zone euro.
Le Trésor italien devait émettre des obligations à courte-échéance ainsi que des titres à 10 ans, mercredi et jeudi.
Le gouvernement français a annoncé lundi soir que le taux de chômage avait atteint son niveau le plus élevé en 12 ans, alors que le risque de dégradation du précieux Triple A français continuait de planer.
Par ailleurs, les mises en chantier de logements en France ont progressé de 1,7% au mois de novembre par rapport à octobre. Sur douze mois, elles ont rebondi de 20,2%. Le nombre de permis de construire accordés en novembre est quant à lui resté stable sur un mois.
Les plus fortes hausses de l’indice parisien ont été enregistrées par les entreprises industrielles à mi-séance. Schneider Electric grimpait de 1,49%, Legrand de 1,21% et ArcelorMittal de 1,07%.
EDF évoluait de 0,60% après avoir annoncé qu'un nouvel accord de principe portera la part du groupe, qui détient actuellement 50% d'Edison, à 80,7% du capital, moyennant 700 millions d'euros d'apport.
Total a gagné 0,73% en amont d’une réunion prévue jeudi avec Gazprom et le norvégien Statoil pour décider du lancement de la première tranche du projet gazier Shtokman, selon la Tribune.
France Télécom avançait, par ailleurs, de 0,33% suite à l’annonce, samedi, d’un accord avec le fonds d'investissement Apax Partners pour la reprise de sa filiale mobile Orange Suisse, pour un montant de 1,6 milliard d'euros.
Quant aux valeurs financières, elles évoluaient en ordre dispersé. BNP Paribas s’adjugeait 1,20% à mi-séance, tandis que Société Générale et Crédit Agricole reculaient de 0,98% et de 1,14% respectivement.
Enfin, les valeurs cycliques se trouvaient en zone négative, à l’image d’Alcatel Lucent qui perdait 1,61% et STMicroelctronics, en baisse de 0,44%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 avançait de 0,42%, le DAX30 allemand progressait de 0,43% et le Footsie 100 londonien était fermé pour cause de congés de Noël prolongé.
Le taux des obligations italiennes à dix ans a franchi le seuil jugé dangereux de 7% dans la matinée de mardi, faisant à nouveau craindre une dégradation de la crise de la dette souveraine dans la zone euro.
Le Trésor italien devait émettre des obligations à courte-échéance ainsi que des titres à 10 ans, mercredi et jeudi.