Investing.com - Les bourses européennes étaient modérément positives ce jeudi matin, alors que l'attente d'une réduction des acquisitions de la Réserve Fédérale continuait à plomber l'atmosphère.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,09%, le CAC 40 français de 0,26%, et le DAX 30 allemand de 0,07%.
Le décompte des nouvelles inscriptions au chômage américaines devant être dévoilé aujourd'hui sera aussi très surveillé, en raison des bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La monnaie unique demeurait sur la sellette en raison des rumeurs selon lesquelles la Banque Centrale Européenne pourrait adopter des taux d'intérêt négatifs pour les dépôts à vue, dans le sillage de propos tenus par ses hauts responsables évoquant cette hypothèse.
La finance était en forme, la Deutsche Bank allemande empochant 0,34%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,91 et 0,68%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,18 et 0,14%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,84 et 0,93%.
Parmi les contre-performances, Aéroports de Paris plongeait de 0,30% après que le ministre dse finances français Pierre Moscovici ait fait savoir que son gouvernement comptait en écouler jusqu'à 10 millions de ses actions.
Le constructeur automobile Fiat reculait quand à lui de 0,29%, en négociations avec un groupe de banques afin d'acheter les 41,5% de Chrysler détenus par le fonds de pension de l'United Auto Workers et refinancer les dettes des deux collègues.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,25%, tiré vers le haut par des exploitants qui avaient le sourire.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto rebondissaient de 0,78 et 1,40%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 1,26%, Polymetal se portant en tête avec 2,74%.
La City suivait quand à elle le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings grimpant de 0,45%, et Barclays de 0,59%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking étaient en pointe avec 1,09 et 1,24%.
Du côté de l'industrie pharmaceutique, le britannique Glaxo arrachait 0,29% après que les autorités sanitaires américianes aient donné leur feu vert à l'utilisation de ses médicaments Tafinlar et Mekinist sur les patients atteints de mélanomes n'ayant pas encore causé de métastases ou ne pouvant être opérés.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,07%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,08% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,21%.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la journée avec leur volume des ventes de logements en cours.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,09%, le CAC 40 français de 0,26%, et le DAX 30 allemand de 0,07%.
Le décompte des nouvelles inscriptions au chômage américaines devant être dévoilé aujourd'hui sera aussi très surveillé, en raison des bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La monnaie unique demeurait sur la sellette en raison des rumeurs selon lesquelles la Banque Centrale Européenne pourrait adopter des taux d'intérêt négatifs pour les dépôts à vue, dans le sillage de propos tenus par ses hauts responsables évoquant cette hypothèse.
La finance était en forme, la Deutsche Bank allemande empochant 0,34%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,91 et 0,68%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,18 et 0,14%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,84 et 0,93%.
Parmi les contre-performances, Aéroports de Paris plongeait de 0,30% après que le ministre dse finances français Pierre Moscovici ait fait savoir que son gouvernement comptait en écouler jusqu'à 10 millions de ses actions.
Le constructeur automobile Fiat reculait quand à lui de 0,29%, en négociations avec un groupe de banques afin d'acheter les 41,5% de Chrysler détenus par le fonds de pension de l'United Auto Workers et refinancer les dettes des deux collègues.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,25%, tiré vers le haut par des exploitants qui avaient le sourire.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto rebondissaient de 0,78 et 1,40%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 1,26%, Polymetal se portant en tête avec 2,74%.
La City suivait quand à elle le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings grimpant de 0,45%, et Barclays de 0,59%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking étaient en pointe avec 1,09 et 1,24%.
Du côté de l'industrie pharmaceutique, le britannique Glaxo arrachait 0,29% après que les autorités sanitaires américianes aient donné leur feu vert à l'utilisation de ses médicaments Tafinlar et Mekinist sur les patients atteints de mélanomes n'ayant pas encore causé de métastases ou ne pouvant être opérés.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,07%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,08% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,21%.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la journée avec leur volume des ventes de logements en cours.