Investing.com - Les bourses européennes ont perdu le sourire ce vendredi après-midi, à la suite de contre-performances de la part de l'Allemagne, dans l'expectative de la publication imminente de chiffres cruciaux de l'emploi des Etats-Unis, sur fond de rumeurs de diminution des apports de capitaux de leur banque centrale.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,28%, le CAC 40 français de 0,17%, et le DAX 30 allemand de 0,22%.
Une étude officielle a en effet révélé à la mi-journée que les commandes passées auprès des usines allemandes avaient plongé de 1,3% en mai, alors qu'une poussée de 1,2% était envisagée, après le faux pas de 2,2% précédent.
Les yeux se tournaient désormais pour cet après-midi vers les chiffres de la masse salariale américaine, en quête d'indices sur le moment où la Réserve Fédérale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La finance gardait cependant le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,38%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,99 et 2,28%.
La périphérie était toutefois moins unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA dérapant de 2,44 et 0,58%, l'italien Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,21%.
Le brasseur Heineken limitait par contre les dégâts à 0,31% après que JP Morgan en ait rabaissé son appréciation depuis la neutralité vers la déception.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,42%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant majoritairement le chemin tracé ce matin par leurs homologues continentaux.
Barclays accumulait ainsi 0,49%, HSBC Holdings 1,29%, et la Royal Bank of Scotland 1,66%, tandis que Lloyds Banking voyait son avance fondre, trébuchant de 0,03%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières continuaient à souffrir, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 1,47 et 1,56%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 1,41%.
Les perspectives des marchés américains demeuraient quand à elle nettement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,88%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,87% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,93%.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,28%, le CAC 40 français de 0,17%, et le DAX 30 allemand de 0,22%.
Une étude officielle a en effet révélé à la mi-journée que les commandes passées auprès des usines allemandes avaient plongé de 1,3% en mai, alors qu'une poussée de 1,2% était envisagée, après le faux pas de 2,2% précédent.
Les yeux se tournaient désormais pour cet après-midi vers les chiffres de la masse salariale américaine, en quête d'indices sur le moment où la Réserve Fédérale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La finance gardait cependant le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,38%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,99 et 2,28%.
La périphérie était toutefois moins unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA dérapant de 2,44 et 0,58%, l'italien Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,21%.
Le brasseur Heineken limitait par contre les dégâts à 0,31% après que JP Morgan en ait rabaissé son appréciation depuis la neutralité vers la déception.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,42%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant majoritairement le chemin tracé ce matin par leurs homologues continentaux.
Barclays accumulait ainsi 0,49%, HSBC Holdings 1,29%, et la Royal Bank of Scotland 1,66%, tandis que Lloyds Banking voyait son avance fondre, trébuchant de 0,03%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières continuaient à souffrir, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 1,47 et 1,56%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 1,41%.
Les perspectives des marchés américains demeuraient quand à elle nettement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,88%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,87% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,93%.