Investing.com - Les bourses européennes étaient sur la défensive ce mercredi après-midi, à l'approche d'un sommet des dirigeants de l'Union Européenne et dans l'expectative de l'intervention imminente du chef de la banque centrale américaine devant le comité conjoint du congrès des Etats-Unis.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,40%, le CAC 40 français de 0,50%, et le DAX 30 allemand de 0,23%.
La prudence demeurait en effet de mise à l'approche de l'audition de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devant le comité économique parlementaire, sur fond de rumeurs de réduction de son programme d'acquisitions d'actifs dès cette année.
Elle publiera par la suite le compte-rendu de son plus récent conseil d'orientation.
James Bullard, président de la réserve fédérale de St. Louis, a pour sa part estimé hier qu'elle devrait poursuivre sur sa lancée et procéder à des ajustements en fonction des changements économiques.
La finance voyait son sourire matinal se lézarder, la Deutsche Bank allemande empochant 0,41%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale dérapaient respectivement de 0,88 et 0,97%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA reculant de 0,55 et 1,52%, mais les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit faisaient le contraire avec 1,12 et 0,33% d'amélioration.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, laissait échapper 0,10%, après qu'une étude officielle ait révélé que les ventes au détail britanniques avaient subi le mois passé leur pire déconvenue en un an.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières évoluaieent sans direction claire, les mastodontes BHP Billiton Anglo American amassant 0,35 et 0,60%, alors que leur rival Rio Tinto s'enfonçait de 0,33%.
Ce n'étaient pas les seules mauvaises nouvelles, alors que dans la grande distribution, William Morrison Supermarkets plongeait de 2,90% après que l'UBS AG en ait offert des actions en tant que mandataire d'un vendeur international.
La City gardait majoritairement le moral, Barclays de 0,73%, la Royal Bank of Scotland de 1,15% et Lloyds Banking de 2,10%.
Mais HSBC Holdings décevait enncore avec un faux pas de 0,64%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,10%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,13% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,14%.
Les plus hauts responsables européens procèderont quand à eux aujourd'hui à des négociations à Bruxelles, après quoi les Etats-Unis feront connaitre le volume de leurs ventes de logements d'occasion.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,40%, le CAC 40 français de 0,50%, et le DAX 30 allemand de 0,23%.
La prudence demeurait en effet de mise à l'approche de l'audition de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devant le comité économique parlementaire, sur fond de rumeurs de réduction de son programme d'acquisitions d'actifs dès cette année.
Elle publiera par la suite le compte-rendu de son plus récent conseil d'orientation.
James Bullard, président de la réserve fédérale de St. Louis, a pour sa part estimé hier qu'elle devrait poursuivre sur sa lancée et procéder à des ajustements en fonction des changements économiques.
La finance voyait son sourire matinal se lézarder, la Deutsche Bank allemande empochant 0,41%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale dérapaient respectivement de 0,88 et 0,97%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA reculant de 0,55 et 1,52%, mais les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit faisaient le contraire avec 1,12 et 0,33% d'amélioration.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, laissait échapper 0,10%, après qu'une étude officielle ait révélé que les ventes au détail britanniques avaient subi le mois passé leur pire déconvenue en un an.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières évoluaieent sans direction claire, les mastodontes BHP Billiton Anglo American amassant 0,35 et 0,60%, alors que leur rival Rio Tinto s'enfonçait de 0,33%.
Ce n'étaient pas les seules mauvaises nouvelles, alors que dans la grande distribution, William Morrison Supermarkets plongeait de 2,90% après que l'UBS AG en ait offert des actions en tant que mandataire d'un vendeur international.
La City gardait majoritairement le moral, Barclays de 0,73%, la Royal Bank of Scotland de 1,15% et Lloyds Banking de 2,10%.
Mais HSBC Holdings décevait enncore avec un faux pas de 0,64%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,10%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,13% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,14%.
Les plus hauts responsables européens procèderont quand à eux aujourd'hui à des négociations à Bruxelles, après quoi les Etats-Unis feront connaitre le volume de leurs ventes de logements d'occasion.