Investing.com - Les bourses européennes restaient plutôt moroses ce mardi après-midi, la nervosité étant palpable à la veille du témoignage de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,65%, le CAC 40 français de 0,46%, et le DAX 30 allemand de 0,31%.
La prudence demeurait de mise, les yeux étant braqués pour demain sur le témoignage que le chef de la banque centrale américaine produira devant le comité économique parlementaire, et la publication du compte-rendu du plus récent conseil d'orientation de celle-ci.
Les observateurs sont en effet à l'affût du moindre signe pouvant laisser envisager une réduction de son programme d'acquisitions d'actifs dès cette année, au vu des signaux positifs émis par l'économie nationale.
La finance était encore plus en berne, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank plongeant respectivement de 5,65 et 2,75%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 3,79 et 1,12%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA chutant de 1,28 et 1,91%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,54 et 1,52%.
Carnival, numéro un mondial des croisières, sombrait de 10,71% après avoir rabaissé ses projections de rentrées annuelles, invoquant les baisses de prix ayant dû être pratiquées afin d'encourager la demande après des mois de publicité négative.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,14%, tiré vers le haut par des exploitants en forme, après qu'il ait été montré que l'inflation au détail du Royaume-Uni avait plongé le mois passé pour la première fois depuis septembre.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassaient 2,42 et 3,69%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American n'étant pas en reste avec 2,30%.
Le revendeur d'articles de luxe Burberry était aussi de la fête avec 1,37%, grâce à des bénéfices dépassant les espérances.
La compagnie de sécurité G4S Plc commettait par contre un faux pas de 0,40%, après avoir annoncé la démission de son directeur général.
La City suivait quand à elle le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings perdant 0,76%, et Lloyds Banking 1,13%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland se retrouvaient en lanternes rouges avec des déconvenues de 1,71 et 3,35%.
Les perspectives des marchés américains exprimaient cependant une apathie certaine: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,01%, celles sur le S&P 500 tablant sur une érosion de 0,09% et celles sur le Nasdaq 100 l'évaluant à 0,09% aussi.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,65%, le CAC 40 français de 0,46%, et le DAX 30 allemand de 0,31%.
La prudence demeurait de mise, les yeux étant braqués pour demain sur le témoignage que le chef de la banque centrale américaine produira devant le comité économique parlementaire, et la publication du compte-rendu du plus récent conseil d'orientation de celle-ci.
Les observateurs sont en effet à l'affût du moindre signe pouvant laisser envisager une réduction de son programme d'acquisitions d'actifs dès cette année, au vu des signaux positifs émis par l'économie nationale.
La finance était encore plus en berne, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank plongeant respectivement de 5,65 et 2,75%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 3,79 et 1,12%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA chutant de 1,28 et 1,91%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,54 et 1,52%.
Carnival, numéro un mondial des croisières, sombrait de 10,71% après avoir rabaissé ses projections de rentrées annuelles, invoquant les baisses de prix ayant dû être pratiquées afin d'encourager la demande après des mois de publicité négative.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,14%, tiré vers le haut par des exploitants en forme, après qu'il ait été montré que l'inflation au détail du Royaume-Uni avait plongé le mois passé pour la première fois depuis septembre.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassaient 2,42 et 3,69%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American n'étant pas en reste avec 2,30%.
Le revendeur d'articles de luxe Burberry était aussi de la fête avec 1,37%, grâce à des bénéfices dépassant les espérances.
La compagnie de sécurité G4S Plc commettait par contre un faux pas de 0,40%, après avoir annoncé la démission de son directeur général.
La City suivait quand à elle le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings perdant 0,76%, et Lloyds Banking 1,13%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland se retrouvaient en lanternes rouges avec des déconvenues de 1,71 et 3,35%.
Les perspectives des marchés américains exprimaient cependant une apathie certaine: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,01%, celles sur le S&P 500 tablant sur une érosion de 0,09% et celles sur le Nasdaq 100 l'évaluant à 0,09% aussi.