Investing.com - Les bourses européennes étaient sur la défensive ce jeudi matin, l'épouvantail de la dette américaine venant remplacer le spectre récemment dissipé d'une catastrophe budgétaire.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.36%, le CAC 40 français de 0.35%, et le DAX 30 allemand de 0.06%.
Le moral était en effet revenu hier après que le parlement des Etats-Unis ait ratifié une loi ménageant la chèvre et le chou pour échapper au mur fiscal, qui aurait découlé de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires, et aurait probablement entraîné un retour en récession.
Mais la nervosité restait toutefois présente à long terme, avec à l'horizon de février les tractations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays.
La finance traînait les pieds, les français BNP Paribas et Société Générale chutant de 0.81 et 0.84%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank, se rétractant tous deux de 0.2%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo laissant respectivement échapper 0.01 et 0.36%, les espagnols BBVA et Banco Santander faisant pire avec 1.1 et 0.95%.
Mais tout nétait cependant pas désespéré, Alcatel-Lucent bondissant de 1.70% que le Crédit Suisse Group en ait relevé l'appréciation.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a fondu de 0.01%, tiré vers le bas par des extracteurs et des exploitants en berne.
Vedanta Resources s'est ainsi effondré de 1.23%, suivi des mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton avec 1.12 et 0.93%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étaient guère mieux lotis avec 0.64 et 0.97% de recul, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American leur emboîtant le pas avec 0.59%.
La City était plus nuancée, la Royal Bank of Scotland limitant les dégâts à 0.01%, et HSBC Holdings à 0.46%, tandis que Lloyds Banking et Barclays arrachaient 0.1 et 0.89%.
Les perspectives des marchés américains partageaient majoritairement le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.12%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0.02%.
Le ministère de l'emploi espagnol a quand à lui constaté 59 100 demandeurs d'emploi de moins en décembre, alors que 50 300 supplémentaires étaient redoutés.
Leur nombre avait bondi de 74 300 unités sans besoin de révision en novembre.
Les Etats-Unis verront de leur côté l'agence de gestion des ressources humaines ADP rendre dans l'après-midi son rapport sur la masse salariale non agricole, accompagné du rapport hebdomadaire des autorités sur les nouvelles inscriptions au chômage, tandis que la Réserve Fédérale publiera le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion du comité d'orientation de sa politique monétaire.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.36%, le CAC 40 français de 0.35%, et le DAX 30 allemand de 0.06%.
Le moral était en effet revenu hier après que le parlement des Etats-Unis ait ratifié une loi ménageant la chèvre et le chou pour échapper au mur fiscal, qui aurait découlé de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires, et aurait probablement entraîné un retour en récession.
Mais la nervosité restait toutefois présente à long terme, avec à l'horizon de février les tractations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays.
La finance traînait les pieds, les français BNP Paribas et Société Générale chutant de 0.81 et 0.84%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank, se rétractant tous deux de 0.2%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo laissant respectivement échapper 0.01 et 0.36%, les espagnols BBVA et Banco Santander faisant pire avec 1.1 et 0.95%.
Mais tout nétait cependant pas désespéré, Alcatel-Lucent bondissant de 1.70% que le Crédit Suisse Group en ait relevé l'appréciation.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a fondu de 0.01%, tiré vers le bas par des extracteurs et des exploitants en berne.
Vedanta Resources s'est ainsi effondré de 1.23%, suivi des mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton avec 1.12 et 0.93%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étaient guère mieux lotis avec 0.64 et 0.97% de recul, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American leur emboîtant le pas avec 0.59%.
La City était plus nuancée, la Royal Bank of Scotland limitant les dégâts à 0.01%, et HSBC Holdings à 0.46%, tandis que Lloyds Banking et Barclays arrachaient 0.1 et 0.89%.
Les perspectives des marchés américains partageaient majoritairement le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.12%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0.02%.
Le ministère de l'emploi espagnol a quand à lui constaté 59 100 demandeurs d'emploi de moins en décembre, alors que 50 300 supplémentaires étaient redoutés.
Leur nombre avait bondi de 74 300 unités sans besoin de révision en novembre.
Les Etats-Unis verront de leur côté l'agence de gestion des ressources humaines ADP rendre dans l'après-midi son rapport sur la masse salariale non agricole, accompagné du rapport hebdomadaire des autorités sur les nouvelles inscriptions au chômage, tandis que la Réserve Fédérale publiera le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion du comité d'orientation de sa politique monétaire.