Investing.com - Les bourses européennes étaient plutôt en sur la défensive ce jeudi, dans le sillage de chiffres décevants concernant la région dévoilés hier et plombant fortement le moral.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,32%, le CAC 40 français de 0,40%, et le DAX 30 allemand de 0,16%.
La prudence restait de mise après qu'il ait été montré la veille que le produit intérieur brut du bloc ayant adopté la monnaie unique avait reculé de 0,2% lors des trois premiers mois de l'année, soit 0,9% annualisés.
Celui de l'Allemagne n'a pour sa part frémi que de 0,1% au lieu des 0,3% espérés et son équivalent pour la France a aussi déçu avec un passage à vide de 0,2%.
La finance était en berne, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank sombrant respectivement de 1,08 et 0,90%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 1,27 et 0,46%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA chutant de 0,74 et 0,94%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,68 et 0,76%.
Zurich Insurance, premier assureur de Suisse, dégringolait de 3,28% après avoir déploré un revenu inférieur aux espérances en se limitant à 1,06 milliards d'USD au premier trimestre.
Vivendi faisait de même avec 1,27% alors qu'il se disait qu'Activision avait renoncé aux négociations visant le rachat de ses actions détenues par l'empire médiatique français, suite à un désaccord sur les prix.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,09%, malgré des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçaient de 0,38 et 0,53%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 0,23%.
La city était plus mitigée, Lloyds Banking empochant 0,94% et Barclays 0,90%, tandis que la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings subissaient des érosions de 0,23 et 0,24%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,17% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,06%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté annoncer en fin de journée le nombre des permis de construire qu'ils ont accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers, sans oublier les chiffres officiels de l'inflation au détail, le décompte des nouvelles inscriptions au chômage et l'indice de l'activité des usines de la région de Philadelphie.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,32%, le CAC 40 français de 0,40%, et le DAX 30 allemand de 0,16%.
La prudence restait de mise après qu'il ait été montré la veille que le produit intérieur brut du bloc ayant adopté la monnaie unique avait reculé de 0,2% lors des trois premiers mois de l'année, soit 0,9% annualisés.
Celui de l'Allemagne n'a pour sa part frémi que de 0,1% au lieu des 0,3% espérés et son équivalent pour la France a aussi déçu avec un passage à vide de 0,2%.
La finance était en berne, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank sombrant respectivement de 1,08 et 0,90%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 1,27 et 0,46%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA chutant de 0,74 et 0,94%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,68 et 0,76%.
Zurich Insurance, premier assureur de Suisse, dégringolait de 3,28% après avoir déploré un revenu inférieur aux espérances en se limitant à 1,06 milliards d'USD au premier trimestre.
Vivendi faisait de même avec 1,27% alors qu'il se disait qu'Activision avait renoncé aux négociations visant le rachat de ses actions détenues par l'empire médiatique français, suite à un désaccord sur les prix.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,09%, malgré des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçaient de 0,38 et 0,53%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 0,23%.
La city était plus mitigée, Lloyds Banking empochant 0,94% et Barclays 0,90%, tandis que la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings subissaient des érosions de 0,23 et 0,24%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,17% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,06%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté annoncer en fin de journée le nombre des permis de construire qu'ils ont accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers, sans oublier les chiffres officiels de l'inflation au détail, le décompte des nouvelles inscriptions au chômage et l'indice de l'activité des usines de la région de Philadelphie.