Investing.com - Les bourses européennes étaient mitigées ce lundi, alors que l'atmosphère demeurait assombrie par la persistance des craintes découlant de la crise de la dette de la zone euro et des perspectives de croissance mondiales.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.04%, le CAC 40 français arrachant tout de même 0.19% tandis que le DAX 30 allemand laissait échapper 0.23%.
Les bourses demeuraient sous pression après que les taux des emprunts de l'Espagne aient dépassé les 6% en début de session et que les coûts des assurances contre un éventuel défaut de paiement les concernant aient atteint des sommets vendredi, tandis que le volume record des emprunts du secteur bancaire du pays auprès de la Banque Centrale Européenne ranimant les rumeurs concernant les finances nationales, alors que l'appétit des investisseurs pour sa dette devrait être à nouveau testé jeudi.
Un décideur éminent de la BCE a pour sa part étouffé l'attente d'une relance du programme d'achats d'actifs de cette dernière pour soulager la pression obligataire pesant sur Madrid.
La fébrilité était déjà montée d'un cran après qu'une étude officielle chinoise ait montré que l'économie nationale avait connu au premier trimestre sa croissance la plus lente en presque trois ans, alimentant la crainte d'un ralentissement de la croissance mondiale.
La finance s'est du coup retrouvée avec le bonnet d'âne, les français BNP Paribas et Société Générale plongeant respectivement de 2.01 et 2.27%, les banques allemandes Deutsche Bank et Commerzbank limitant les dégâts à 0.94 et 1.16%.
La compagnie de téléphonie mobile néerlandaise Royal KPN NV s'est pour sa part écroulée de 3.67% après qu'il ait été affirmé qu'elle comptait vendre sa branche belge.
Le prestataire germanique de services logistiques Kuehne & Nagel International AG a dérapé de son côté de 5.54% après avoir déclaré des revenus inférieurs aux estimations des experts.
Les constructeurs automobiles étaient par contre pimpants, BMW raflant 1.88%, Daimler 1.77% et Volkswagen 0.64% en Allemagne, tandis qu'en France, Peugeot suivait le mouvement avec 1.57% et Renault avec 0.33%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.43%, tiré vers le haut par la bonne forme du secteur énergétique et les chiffres des spécialistes de l'immobilier montrant pour avril une hausse des prix des logements britanniques.
International Power se trouvait en tête de peloton, bondissant de 3.28% après avoir trouvé avec le français GDF Suez un accord sur une offre de capitaux.
Le poids lourd des hydrocarbures Cairns Energy n'était pas en reste avec 3.48%, BP et Tullow Oil se contentant de 1.24 et 1.35%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont engrangé 1.07 et 0.19% de leur côté, alors que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys arrachaient 0.09 et 0.85%.
La City était plus nuancée, Lloyds Banking fondant de 2.49%, la Royal Bank of Scotland de 1.36% et Barclays de 1.48%, tandis que HSBC Holdings grignotait 0.31%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois infinitésimalement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.03%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.03% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.01%.
Les autorités américaines devraient quand à elles divulguer dans l'après-midi avec les chiffres des ventes auprès des particuliers, mais aussi avec un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York, un autre sur le solde des transactions concernant les titres sécurisés et un inventaire des stocks des entreprises.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.04%, le CAC 40 français arrachant tout de même 0.19% tandis que le DAX 30 allemand laissait échapper 0.23%.
Les bourses demeuraient sous pression après que les taux des emprunts de l'Espagne aient dépassé les 6% en début de session et que les coûts des assurances contre un éventuel défaut de paiement les concernant aient atteint des sommets vendredi, tandis que le volume record des emprunts du secteur bancaire du pays auprès de la Banque Centrale Européenne ranimant les rumeurs concernant les finances nationales, alors que l'appétit des investisseurs pour sa dette devrait être à nouveau testé jeudi.
Un décideur éminent de la BCE a pour sa part étouffé l'attente d'une relance du programme d'achats d'actifs de cette dernière pour soulager la pression obligataire pesant sur Madrid.
La fébrilité était déjà montée d'un cran après qu'une étude officielle chinoise ait montré que l'économie nationale avait connu au premier trimestre sa croissance la plus lente en presque trois ans, alimentant la crainte d'un ralentissement de la croissance mondiale.
La finance s'est du coup retrouvée avec le bonnet d'âne, les français BNP Paribas et Société Générale plongeant respectivement de 2.01 et 2.27%, les banques allemandes Deutsche Bank et Commerzbank limitant les dégâts à 0.94 et 1.16%.
La compagnie de téléphonie mobile néerlandaise Royal KPN NV s'est pour sa part écroulée de 3.67% après qu'il ait été affirmé qu'elle comptait vendre sa branche belge.
Le prestataire germanique de services logistiques Kuehne & Nagel International AG a dérapé de son côté de 5.54% après avoir déclaré des revenus inférieurs aux estimations des experts.
Les constructeurs automobiles étaient par contre pimpants, BMW raflant 1.88%, Daimler 1.77% et Volkswagen 0.64% en Allemagne, tandis qu'en France, Peugeot suivait le mouvement avec 1.57% et Renault avec 0.33%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.43%, tiré vers le haut par la bonne forme du secteur énergétique et les chiffres des spécialistes de l'immobilier montrant pour avril une hausse des prix des logements britanniques.
International Power se trouvait en tête de peloton, bondissant de 3.28% après avoir trouvé avec le français GDF Suez un accord sur une offre de capitaux.
Le poids lourd des hydrocarbures Cairns Energy n'était pas en reste avec 3.48%, BP et Tullow Oil se contentant de 1.24 et 1.35%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont engrangé 1.07 et 0.19% de leur côté, alors que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys arrachaient 0.09 et 0.85%.
La City était plus nuancée, Lloyds Banking fondant de 2.49%, la Royal Bank of Scotland de 1.36% et Barclays de 1.48%, tandis que HSBC Holdings grignotait 0.31%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois infinitésimalement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.03%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.03% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.01%.
Les autorités américaines devraient quand à elles divulguer dans l'après-midi avec les chiffres des ventes auprès des particuliers, mais aussi avec un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York, un autre sur le solde des transactions concernant les titres sécurisés et un inventaire des stocks des entreprises.