Investing.com - Les bourses européennes restaient en forte baisse ce lundi après-midi, l'intensification de l'instabilité politique italienne, dans l'ombre d'une possible paralysie des administrations américaines, ébranlant la confiance des investisseurs.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 1,10%, le CAC 40 français de 1,31%, et le DAX 30 allemand de 1,08%.
L'ambiance s'est en effet assombrie après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi le retrait de ses ministres du gouvernement de coalition dirigé par Enrico Letta, appelant à la tenue de nouvelles élections.
Les chicaneries politiques au sujet des fonds alloués à la concrétisation de la loi sur la santé du président Barack Obama ont continué en fin de semaine, alimentant l'angoisse d'une mise à pied des fonctionnaires.
Le parlement doit adopter un budget à court terme d'ici minuit afin d'éviter une telle éventualité.
L'opposition du parti républicain, majoritaire à la chambre des députés, à la concrétisation des dispositions de l'Affordable Care Act a une fois de plus entraîné une impasse face à la Maison Blanche et au sénat, contrôlé par leurs adversaires démocrates, ayant déclaré refuser toute proposition qui viderait la loi surnommée "Obamacare" de sa substance.
La finance était encore en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 1,66%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,81 et 1,57%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 1,84 et 2,39%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 3,86 et 2,35%.
Le troisième avait auparavant désigné Carlo Messina au poste de directeur général suite à la démission d'Enrico Tommaso Cucchiani.
Siemens dérapait de 1,13% après qu'il ait été rapporté que Joe Kaeser, nouvellement installé à sa tête, compterait supprimer davantage d'emplois que prévu, afin d'en augmenter les bénéfices.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,87%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays plongeait de 0,88% et HSBC Holdings de 1,06%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland jouaient les lanternes rouges avec 1,46 et 3,13%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont continué à souffrir, le mastodonte minier Glencore Xstrata fondait de 2,57%, ses rivaux Evraz et Polymetal n'étant pas à l'abri avec 2,70 et 2,79%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,76%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,76% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,67%.
Il avait aussi été signalé en début de journée que les prix à la consommation de la région ayant adopté la monnaie unique avaient connu ce mois-ci avec 1,1% leur plus faible augmentation depuis février 2010, au lieu des 1,3% ayant précédé.
Ceux des produits de base, excluant la nourriture, l'énergie, l'alcool et le tabac, se contentaient de 1%, après les 1,1% d'août.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 1,10%, le CAC 40 français de 1,31%, et le DAX 30 allemand de 1,08%.
L'ambiance s'est en effet assombrie après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi le retrait de ses ministres du gouvernement de coalition dirigé par Enrico Letta, appelant à la tenue de nouvelles élections.
Les chicaneries politiques au sujet des fonds alloués à la concrétisation de la loi sur la santé du président Barack Obama ont continué en fin de semaine, alimentant l'angoisse d'une mise à pied des fonctionnaires.
Le parlement doit adopter un budget à court terme d'ici minuit afin d'éviter une telle éventualité.
L'opposition du parti républicain, majoritaire à la chambre des députés, à la concrétisation des dispositions de l'Affordable Care Act a une fois de plus entraîné une impasse face à la Maison Blanche et au sénat, contrôlé par leurs adversaires démocrates, ayant déclaré refuser toute proposition qui viderait la loi surnommée "Obamacare" de sa substance.
La finance était encore en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 1,66%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,81 et 1,57%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 1,84 et 2,39%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 3,86 et 2,35%.
Le troisième avait auparavant désigné Carlo Messina au poste de directeur général suite à la démission d'Enrico Tommaso Cucchiani.
Siemens dérapait de 1,13% après qu'il ait été rapporté que Joe Kaeser, nouvellement installé à sa tête, compterait supprimer davantage d'emplois que prévu, afin d'en augmenter les bénéfices.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,87%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays plongeait de 0,88% et HSBC Holdings de 1,06%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland jouaient les lanternes rouges avec 1,46 et 3,13%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont continué à souffrir, le mastodonte minier Glencore Xstrata fondait de 2,57%, ses rivaux Evraz et Polymetal n'étant pas à l'abri avec 2,70 et 2,79%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,76%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,76% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,67%.
Il avait aussi été signalé en début de journée que les prix à la consommation de la région ayant adopté la monnaie unique avaient connu ce mois-ci avec 1,1% leur plus faible augmentation depuis février 2010, au lieu des 1,3% ayant précédé.
Ceux des produits de base, excluant la nourriture, l'énergie, l'alcool et le tabac, se contentaient de 1%, après les 1,1% d'août.