Les Bourses européennes lâchent du terrain, l'absence de vrai catalyseur à la hausse ce vendredi laissant les opérateurs aux prises avec les nombreux sujets d'incertitude du moment en Europe et aux Etats-Unis.
Milan, Paris et Madrid lâchent 1%, Bruxelles perd 0,5%, Francfort et Lisbonne 0,2%, Zurich 0,1%, mais Londres gagne 0,2% et Amsterdam 0,6%. A New York, le Dow Jones cède 0,2% et le Nasdaq se maintient à son équilibre.
'Les marchés marquaient donc une pause malgré une BCE se voulant rassurante à la lecture des minutes de la dernière réunion. L'enjeu sera désormais de trouver de nouveaux catalyseurs à la hausse pour offrir un second souffle', jugeait ce matin Saxo Banque.
'De multiples risques perdurent', notait Aurel BGC pointant l'incertitude politique en Europe, le durcissement de ton à la Fed et la politique de Donald Trump qui 'risque de relancer les anticipations d'inflation et induire un durcissement des conditions financières'.
Dans ce contexte, les marchés ne réagissent guère à l'indice composite des indicateurs avancés aux Etats-Unis -calculé par le Conference Board- qui a augmenté de 0,6% en janvier, soit à peine plus que le consensus (+0,5%).
De ce côté de l'Atlantique, les ventes de détail au Royaume Uni ont progressé de 1,5% en volume le mois dernier en comparaison annuelle, soit leur plus faible croissance annualisée depuis novembre 2013.
Du côté des valeurs, Unilever (LON:ULVR) grimpe de 10% à Amsterdam, après la confirmation par le géant américain Kraft Heinz qu'il a présenté une offre de fusion au groupe anglo-néerlandais de produits de consommation courante.
En revanche, les opérateurs sanctionnent les publications annuelles de la compagnie d'assurance-vie Aegon (-4%) et du groupe de stockage de produits pétroliers Vopak (-7%) qui essuient donc les plus lourds dégagements de l'AEX.
Allianz (DE:ALVG) se distingue à Francfort en prenant 2,5% : les comptes annuels de l'assureur témoignent d'une accélération bénéficiaire supérieure aux attentes en fin d'exercice, même s'il se veut plutôt prudent pour 2017.
En hausse de 6,6% la veille, Hugo Boss (DE:BOSSn) gagne encore 1,5%. Selon le Manager Magazin, la société de portefeuille belge Groupe Bruxelles Lambert (GBL) aurait acquis près de 3% du capital de la maison de vêtements.
En ligne avec la tendance à Paris, Essilor cède 1% bien que le fournisseur de verres ophtalmiques ait dévoilé des bénéfices en progression en 2016, grâce à une bonne performance dans les pays à forte croissance et en Europe.
Copyright (c) 2017 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Milan, Paris et Madrid lâchent 1%, Bruxelles perd 0,5%, Francfort et Lisbonne 0,2%, Zurich 0,1%, mais Londres gagne 0,2% et Amsterdam 0,6%. A New York, le Dow Jones cède 0,2% et le Nasdaq se maintient à son équilibre.
'Les marchés marquaient donc une pause malgré une BCE se voulant rassurante à la lecture des minutes de la dernière réunion. L'enjeu sera désormais de trouver de nouveaux catalyseurs à la hausse pour offrir un second souffle', jugeait ce matin Saxo Banque.
'De multiples risques perdurent', notait Aurel BGC pointant l'incertitude politique en Europe, le durcissement de ton à la Fed et la politique de Donald Trump qui 'risque de relancer les anticipations d'inflation et induire un durcissement des conditions financières'.
Dans ce contexte, les marchés ne réagissent guère à l'indice composite des indicateurs avancés aux Etats-Unis -calculé par le Conference Board- qui a augmenté de 0,6% en janvier, soit à peine plus que le consensus (+0,5%).
De ce côté de l'Atlantique, les ventes de détail au Royaume Uni ont progressé de 1,5% en volume le mois dernier en comparaison annuelle, soit leur plus faible croissance annualisée depuis novembre 2013.
Du côté des valeurs, Unilever (LON:ULVR) grimpe de 10% à Amsterdam, après la confirmation par le géant américain Kraft Heinz qu'il a présenté une offre de fusion au groupe anglo-néerlandais de produits de consommation courante.
En revanche, les opérateurs sanctionnent les publications annuelles de la compagnie d'assurance-vie Aegon (-4%) et du groupe de stockage de produits pétroliers Vopak (-7%) qui essuient donc les plus lourds dégagements de l'AEX.
Allianz (DE:ALVG) se distingue à Francfort en prenant 2,5% : les comptes annuels de l'assureur témoignent d'une accélération bénéficiaire supérieure aux attentes en fin d'exercice, même s'il se veut plutôt prudent pour 2017.
En hausse de 6,6% la veille, Hugo Boss (DE:BOSSn) gagne encore 1,5%. Selon le Manager Magazin, la société de portefeuille belge Groupe Bruxelles Lambert (GBL) aurait acquis près de 3% du capital de la maison de vêtements.
En ligne avec la tendance à Paris, Essilor cède 1% bien que le fournisseur de verres ophtalmiques ait dévoilé des bénéfices en progression en 2016, grâce à une bonne performance dans les pays à forte croissance et en Europe.
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