Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture négative ce jeudi, l'angoisse découlant des retards pris par le second plan de sauvetage de la Grèce et la menace de nouvelles dégradations du secteur bancaire européen assombrissant l'atmosphère.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.34% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.08%.
La confiance des investisseurs a été mise à mal par les bruits selon lesquels les représentants de l'Union Européenne étudieraient les moyens de retarder l'attribution d'une partie, voire de l'intégralité du programme de sauvetage du pays jusqu'aux élections générales prévues pour avril.
Ils cherchent à examiner la possibilité d'un prêt temporaire à Athènes d'ici là, lui permettant de faire face aux 14.4 milliards d'euros de remboursements dûs le 20 mars.
La menace de l'agence Moody's de dégrader les notations de 114 banques réparties dans 16 pays d'Europe, invoquant leur vulnérabilité à la crise de la dette souveraine de la zone euro, n'a pas contribué à ragaillardir l'humeur en laissant à craindre une contamination.
Les valeurs financières étaient attendues au tournant, Morgan Stanley, Goldman Sachs et la Bank of America ayant vu leurs notations remises en cause, les deux derniers se trouvant respectivement en repli de 0.19 et 2.06% lors des transactions de pré-ouverture.
Du côté technologique, NetApp a annoncé des résultats conformes aux attentes, bondissant de près de 8% après la fermeture, après avoir subi des déceptions lors des trimestres précédents.
Google était aussi sous les feux de l'actualité, le ministère du commerce chinois ayant mis son achat pour 12.5 milliards d'USD de Motorola Mobility Holdings sous surveillance.
CBS Corp a pour sa part laissé échapper 0.24% dans le même temps, après avoir pourtant annoncé hier le dépassement des prévisions de bénéfices et prédit une année 2012 devant battre des records, grâce à l'amélioration de la situation économique américaine, à la hausse des prix pratiqués par les distributeurs de télévision payante et au volume des publicités politiques à l'approche d'élections très disputées.
Parmi les autres résultats, AMR Corp, maison-mère d'American Airlines, a avoué des pertes s'élevant à 1.1 milliards d'USD pour le quatrième trimestre en raison de dépenses hors liquidités et de frais de restructuration, après s'être déclarée en faillite depuis le 29 novembre, alors qu'elle avait limité les dégâts à 97 millions d'USD l'année précédente.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Duke Energy, Applied Materials et Agilent Technologies, dont les performances devraient être dévoilées dans l'après-midi.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.86%, le CAC 40 français de 0.4%, le DAX 30 allemand de 0.87% et le FTSE 100 britannique de 0.63%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dérapé de 0.6%, et le Nikkei 225 japonais de 0.24%.
Les Etats-Unis verront quand à eux leurs autorités annoncer le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers, sans oublier des rapports sur l'inflation des prix à la production et les inscriptions au chômage, tandis que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, prononcera un discours.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.34% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.08%.
La confiance des investisseurs a été mise à mal par les bruits selon lesquels les représentants de l'Union Européenne étudieraient les moyens de retarder l'attribution d'une partie, voire de l'intégralité du programme de sauvetage du pays jusqu'aux élections générales prévues pour avril.
Ils cherchent à examiner la possibilité d'un prêt temporaire à Athènes d'ici là, lui permettant de faire face aux 14.4 milliards d'euros de remboursements dûs le 20 mars.
La menace de l'agence Moody's de dégrader les notations de 114 banques réparties dans 16 pays d'Europe, invoquant leur vulnérabilité à la crise de la dette souveraine de la zone euro, n'a pas contribué à ragaillardir l'humeur en laissant à craindre une contamination.
Les valeurs financières étaient attendues au tournant, Morgan Stanley, Goldman Sachs et la Bank of America ayant vu leurs notations remises en cause, les deux derniers se trouvant respectivement en repli de 0.19 et 2.06% lors des transactions de pré-ouverture.
Du côté technologique, NetApp a annoncé des résultats conformes aux attentes, bondissant de près de 8% après la fermeture, après avoir subi des déceptions lors des trimestres précédents.
Google était aussi sous les feux de l'actualité, le ministère du commerce chinois ayant mis son achat pour 12.5 milliards d'USD de Motorola Mobility Holdings sous surveillance.
CBS Corp a pour sa part laissé échapper 0.24% dans le même temps, après avoir pourtant annoncé hier le dépassement des prévisions de bénéfices et prédit une année 2012 devant battre des records, grâce à l'amélioration de la situation économique américaine, à la hausse des prix pratiqués par les distributeurs de télévision payante et au volume des publicités politiques à l'approche d'élections très disputées.
Parmi les autres résultats, AMR Corp, maison-mère d'American Airlines, a avoué des pertes s'élevant à 1.1 milliards d'USD pour le quatrième trimestre en raison de dépenses hors liquidités et de frais de restructuration, après s'être déclarée en faillite depuis le 29 novembre, alors qu'elle avait limité les dégâts à 97 millions d'USD l'année précédente.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Duke Energy, Applied Materials et Agilent Technologies, dont les performances devraient être dévoilées dans l'après-midi.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.86%, le CAC 40 français de 0.4%, le DAX 30 allemand de 0.87% et le FTSE 100 britannique de 0.63%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dérapé de 0.6%, et le Nikkei 225 japonais de 0.24%.
Les Etats-Unis verront quand à eux leurs autorités annoncer le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers, sans oublier des rapports sur l'inflation des prix à la production et les inscriptions au chômage, tandis que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, prononcera un discours.