Investing.com - Les options sur le brut étaient légèrement en retrait ce jeudi matin, l'attention se concentrant sur la publication imminente de l'étude de l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis au sujet de l'état des réserves pétrolières nationales.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 93,65 USD le baril en première partie de séance européenne, trébuchant de 0,25%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 93,45 USD, leur cours le plus bas du jour, et 94,02 USD, leur meilleur.
La session précédente les avait vus conclure à 93,88 USD, avec une avancée de 0,9%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 92,86 USD, leur plancher du 12 novembre, et rencontrer de la résistance à 95,22 USD, leur plafond établi le même jour.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé leur inventaire des réserves américaines après la clôture des échanges d'hier, signalant pour les celles d'or noir une addition de 600.000 barils pour la semaine achevée le 9 novembre, tandis que celles d'essence en accumulaient 1,7 millions.
Celui fourni par les autorités américaines sera quand à lui fournis avec un jour de retard, suite au jour férié consacré aux vétérans, et pourrait mettre en évidence une augmentation d'un million de barils pour les premières, et la soustraction de 700.000 barils pour les secondes.
Leur volume total avait auparavant culminé à 385,4 millions de barils, leur niveau le plus élevé depuis juin.
L'audition de Janet Yellen, vice-présidente de la Réserve Fédérale, qui aura lieu cet après-midi devant le sénat américain en vue de sa confirmation à la tête de la Fed faisait aussi des gorges chaudes, en quête de signes sur ses orientations futures.
Elle a notamment déclaré dans un communiqué diffusé dans la soirée d'hier que le marché de l'emploi et l'économie "avaient de gros progrès à faire" et qu'il fallait "travailler davantage" à la relance.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont gagné 0,25% pour grimper à 107,14 USD du baril dans le même temps, soit 13,49 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leurs prix, établis à Londres, ont été récemment tirés vers le haut par la crainte d'une perturbation des flux provenant de la Libye, ainsi que par l'échec en fin de semaine des négociations avec l'Iran en vue d'un assouplissement des sanctions touchant ses exportations d'or noir soit trouvé.
Elles devraient être réétudiées lors des prochains pourparlers, le 20 novembre.
Celles-ci, en réactions aux allégations selon lesquelles Téhéran chercherait à développer l'arme nucléaire, ont retiré plus d'un million de barils quotidien du marché.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 93,65 USD le baril en première partie de séance européenne, trébuchant de 0,25%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 93,45 USD, leur cours le plus bas du jour, et 94,02 USD, leur meilleur.
La session précédente les avait vus conclure à 93,88 USD, avec une avancée de 0,9%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 92,86 USD, leur plancher du 12 novembre, et rencontrer de la résistance à 95,22 USD, leur plafond établi le même jour.
Les spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain ont dévoilé leur inventaire des réserves américaines après la clôture des échanges d'hier, signalant pour les celles d'or noir une addition de 600.000 barils pour la semaine achevée le 9 novembre, tandis que celles d'essence en accumulaient 1,7 millions.
Celui fourni par les autorités américaines sera quand à lui fournis avec un jour de retard, suite au jour férié consacré aux vétérans, et pourrait mettre en évidence une augmentation d'un million de barils pour les premières, et la soustraction de 700.000 barils pour les secondes.
Leur volume total avait auparavant culminé à 385,4 millions de barils, leur niveau le plus élevé depuis juin.
L'audition de Janet Yellen, vice-présidente de la Réserve Fédérale, qui aura lieu cet après-midi devant le sénat américain en vue de sa confirmation à la tête de la Fed faisait aussi des gorges chaudes, en quête de signes sur ses orientations futures.
Elle a notamment déclaré dans un communiqué diffusé dans la soirée d'hier que le marché de l'emploi et l'économie "avaient de gros progrès à faire" et qu'il fallait "travailler davantage" à la relance.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont gagné 0,25% pour grimper à 107,14 USD du baril dans le même temps, soit 13,49 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leurs prix, établis à Londres, ont été récemment tirés vers le haut par la crainte d'une perturbation des flux provenant de la Libye, ainsi que par l'échec en fin de semaine des négociations avec l'Iran en vue d'un assouplissement des sanctions touchant ses exportations d'or noir soit trouvé.
Elles devraient être réétudiées lors des prochains pourparlers, le 20 novembre.
Celles-ci, en réactions aux allégations selon lesquelles Téhéran chercherait à développer l'arme nucléaire, ont retiré plus d'un million de barils quotidien du marché.