Investing.com - Les options sur le brut ont conclu en nette difficulté, subissant les craintes concernant les perspectives économiques planétaires ainsi que les encaissements de plus-values à l'approche d'un week-end prolongé.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 95.95 USD le baril à la clôture des transactions, en repli de 1.25%.
Ils auront malgré cette déconvenue grignoté 0.1% hebdomadaires.
La corbeille NYMEX restera close demain en raison du jour férié célébrant le président.
Le flou touchant l'avenir économique et son impact sur les besoins futurs a en effet nui à leur attrait.
Des chiffres officiels avaient en effet montré vendredi que le volume de l'économie de la zone euro avait diminué de 0.6% au long des trois derniers mois de l'année, au lieu des 0.4% envisagés.
Il s'agissait là de son recul le plus rapide depuis 2009 et de son troisième trimestre négatif d'affilée.
L'Allemagne, réprésentant la plus grosse part du bloc, s'est ainsi rétractée de 0.6% du début octobre à la fin décembre, faisant ainsi pire que les 0.5% redoutés, subissant une diminution des exportations et des investissements.
Une étude gouvernementale avait aussi fait savoir que le produit intérieur brut japonais avait trébuché de 0.1% entre début octobre et fin décembre, alors qu'un sursaut de 0.1% était espéré.
Il était aussi à noter que la production industrielle des Etats-Unis avait trébuché de 0.1% en janvier, alors qu'un frémissement de 0.2% était espéré suite aux 0.4% enregistrés lors du dernier mois de l'année.
Ces nouvelles peu reluisantes étaient cependant contredites par le bon moral affiché par les consommateurs.
Les informations préliminaires de l'université du Michigan sur son baromètre du moral des consommateurs soulignaient en effet une remontée depuis 73.8 jusqu'à 76.3 pour février, dépassant ainsi les 74.8 espérés.
La Réserve Fédérale de New York a quand à elle fait savoir que son indice de l'activité manufacturière avait nettement dépassé les espérances pour ce mois-ci, bondissant ainsi de -7.8 vers 10.
La large renforcement de l'étalon américain a aussi amplifié la tendance, les conclusions des deux jours de rencontre à Moscou du groupe des 20 pays les plus développés étant sous surveillance.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, s'est ainsi situé à 80.55, aux abords de son pic des cinq semaines écoulées établi en cours de session.
Les engrangements de bénéfices n'étaient pas en reste, les opérateurs assurant les gains découlant d'une pousée impressionnante ayant culminé mercredi aux alentours de leur sommet de cinq mois établi à 98.08 USD.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars se sont pour leur part rétractées de 0.2% vendredi pour grimper à 117.66 USD du baril.
Leurs cours, établis à Londres, ont ainsi terminé la semaine avec 0.8% de pertes, pour s'établir à 21.71 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Ils ont du coup profité des tensions géopolitiques découlant des difficultés rencontrées par les inspecteurs des Nations Unies dans le cadre de leurs inspections des installations nucléaires de l'Iran.
Le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion de son comité d'orientation de la Réserve Fédérale sera mercredi au centre des débats, et il en sera de même avec le baromètre de l'activité manufacturière de la zone euro et l'indice Ifo du climat des affaires allemandes.
Les opérateurs de Chine continentale reprendront demain du service après la semaine de congés saluant la nouvelle année lunaire, tandis que New York sera close pour le fête du président.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 95.95 USD le baril à la clôture des transactions, en repli de 1.25%.
Ils auront malgré cette déconvenue grignoté 0.1% hebdomadaires.
La corbeille NYMEX restera close demain en raison du jour férié célébrant le président.
Le flou touchant l'avenir économique et son impact sur les besoins futurs a en effet nui à leur attrait.
Des chiffres officiels avaient en effet montré vendredi que le volume de l'économie de la zone euro avait diminué de 0.6% au long des trois derniers mois de l'année, au lieu des 0.4% envisagés.
Il s'agissait là de son recul le plus rapide depuis 2009 et de son troisième trimestre négatif d'affilée.
L'Allemagne, réprésentant la plus grosse part du bloc, s'est ainsi rétractée de 0.6% du début octobre à la fin décembre, faisant ainsi pire que les 0.5% redoutés, subissant une diminution des exportations et des investissements.
Une étude gouvernementale avait aussi fait savoir que le produit intérieur brut japonais avait trébuché de 0.1% entre début octobre et fin décembre, alors qu'un sursaut de 0.1% était espéré.
Il était aussi à noter que la production industrielle des Etats-Unis avait trébuché de 0.1% en janvier, alors qu'un frémissement de 0.2% était espéré suite aux 0.4% enregistrés lors du dernier mois de l'année.
Ces nouvelles peu reluisantes étaient cependant contredites par le bon moral affiché par les consommateurs.
Les informations préliminaires de l'université du Michigan sur son baromètre du moral des consommateurs soulignaient en effet une remontée depuis 73.8 jusqu'à 76.3 pour février, dépassant ainsi les 74.8 espérés.
La Réserve Fédérale de New York a quand à elle fait savoir que son indice de l'activité manufacturière avait nettement dépassé les espérances pour ce mois-ci, bondissant ainsi de -7.8 vers 10.
La large renforcement de l'étalon américain a aussi amplifié la tendance, les conclusions des deux jours de rencontre à Moscou du groupe des 20 pays les plus développés étant sous surveillance.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, s'est ainsi situé à 80.55, aux abords de son pic des cinq semaines écoulées établi en cours de session.
Les engrangements de bénéfices n'étaient pas en reste, les opérateurs assurant les gains découlant d'une pousée impressionnante ayant culminé mercredi aux alentours de leur sommet de cinq mois établi à 98.08 USD.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars se sont pour leur part rétractées de 0.2% vendredi pour grimper à 117.66 USD du baril.
Leurs cours, établis à Londres, ont ainsi terminé la semaine avec 0.8% de pertes, pour s'établir à 21.71 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Ils ont du coup profité des tensions géopolitiques découlant des difficultés rencontrées par les inspecteurs des Nations Unies dans le cadre de leurs inspections des installations nucléaires de l'Iran.
Le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion de son comité d'orientation de la Réserve Fédérale sera mercredi au centre des débats, et il en sera de même avec le baromètre de l'activité manufacturière de la zone euro et l'indice Ifo du climat des affaires allemandes.
Les opérateurs de Chine continentale reprendront demain du service après la semaine de congés saluant la nouvelle année lunaire, tandis que New York sera close pour le fête du président.