Le secrétaire d'État aux affaires économiques, Ajay Seth, a indiqué que le gouvernement pourrait réduire ses emprunts bruts plus tard dans l'année financière s'il y a un fort afflux de fonds dans les systèmes nationaux de petite épargne (NSSF), ce qui pourrait avoir un impact sur la stratégie fiscale de l'Inde.
Le NSSF, qui comprend divers instruments d'investissement publics tels que les dépôts postaux, les certificats d'épargne et les fonds pour les personnes âgées, est devenu une source de financement de plus en plus importante pour le gouvernement au cours des dernières années.
Cette considération fait suite à l'annonce du budget fédéral faite mardi, où le gouvernement a réduit son emprunt brut de 1,43 milliard de dollars pour le ramener à 14,01 trillions de roupies pour l'année fiscale. En outre, l'objectif de déficit budgétaire a été réduit de 20 points de base à 4,9 %.
Ces ajustements étaient quelque peu inattendus, car les acteurs du marché avaient anticipé une réduction plus importante de l'emprunt, d'environ 500 milliards de roupies, à la suite d'un transfert d'excédent substantiel de la part de la Reserve Bank of India.
Malgré ces prévisions, le gouvernement a choisi de réduire les emprunts par le biais de bons du Trésor à plus courte échéance, plutôt que par le biais d'obligations d'État. L'objectif de collecte du NSSF pour l'exercice financier en cours a été fixé à 4,20 trillions de roupies, soit une baisse par rapport aux 4,67 trillions de roupies prévus dans le budget intérimaire.
Le taux de change actuel utilisé dans les calculs budgétaires est de 1 dollar américain pour 83,7014 roupies indiennes. La réduction potentielle de l'emprunt s'alignerait sur les efforts plus larges du gouvernement pour gérer ses besoins de financement de manière plus efficace, en tirant parti des flux élevés dans les petits systèmes d'épargne.
Reuters a contribué à cet article.Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.