Transgene annonce la présentation, lors du congrès annuel de l'association américaine d'oncologie clinique (ASCO) à Chicago, de nouvelles données de la phase 2b de l'étude TIME de TG4010, produit d'immunothérapie ciblée contre MUC1, en cancer du poumon 'non à petites cellules'.
'Ces données plus matures confirment la solidité des améliorations de la survie sans progression (PFS) et de la survie globale (OS) antérieurement communiquées, en particulier chez des patients ayant des tumeurs non squameuses', affirme la société biopharmaceutique.
En outre, une amélioration des taux de réponse et un allongement de la durée médiane de réponse ont été montrés chez les patients traités avec TG4010 plus la chimiothérapie par comparaison avec ceux du bras contrôle.
Transgene ajoute qu'une forte activité a été observée avec TG4010, grâce à une analyse rétrospective de l'expression de PD-L1 dans les tissus tumoraux des patients de l'étude présentant un niveau faible (inférieur à 5%) de cellules tumorales exprimant PD-L1, soit environ 70% des patients de l'étude TIME.
'PD-L1 (pour programmed death-ligand 1) est une protéine dont on pense qu'elle joue un rôle majeur dans l'extinction du système immunitaire et constitue une cible importante pour le traitement du cancer', précise-t-il.
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'Ces données plus matures confirment la solidité des améliorations de la survie sans progression (PFS) et de la survie globale (OS) antérieurement communiquées, en particulier chez des patients ayant des tumeurs non squameuses', affirme la société biopharmaceutique.
En outre, une amélioration des taux de réponse et un allongement de la durée médiane de réponse ont été montrés chez les patients traités avec TG4010 plus la chimiothérapie par comparaison avec ceux du bras contrôle.
Transgene ajoute qu'une forte activité a été observée avec TG4010, grâce à une analyse rétrospective de l'expression de PD-L1 dans les tissus tumoraux des patients de l'étude présentant un niveau faible (inférieur à 5%) de cellules tumorales exprimant PD-L1, soit environ 70% des patients de l'étude TIME.
'PD-L1 (pour programmed death-ligand 1) est une protéine dont on pense qu'elle joue un rôle majeur dans l'extinction du système immunitaire et constitue une cible importante pour le traitement du cancer', précise-t-il.
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