Investing.com - Le dollar U.S. était à la baisse face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, les échanges restant inconstants juste avant la diffusion de l'indice des prix à la consommation américains de janvier.
En première partie de séance européenne, l'euro a légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD se laissant saper 0.02% pour hoqueter à 1.3565.
Des chiffres officiels avaient auparavant indiqué que le déficit du compte courant de la zone euro avait augmenté en décembre de manière surprenante.
Le billet vert a toutefois cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.2% pour se hisser à 1.6128.
Andrew Sentence, membre du comité directeur de la Banque d'Angleterre, avait déclaré ce matin que cette dernière devait augmenter les taux d'intérêt pour donner un coup de fouet à la monnaie du Royaume-Uni et contenir la pression inflationniste.
Il a d'autre part subi la la force du yen et du franc suisse, l'USD/JPY glissant de 0.12% pour se retrouver à 83.56 et l'USD/CHF cédant 0.37% pour tomber à 0.9558.
La devise des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD chutant de 0.2% pour aller vers 0.9826, l'AUD/USD arrachant 0.14% pour monter à 1.0045 et le NZD/USD sapant 0.08% pour culminer à 0.7553.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.09%.
Les Etats-Unis devaient également dévoiler le nombre des nouvelles inscriptions au chômage en cours de journée.
En première partie de séance européenne, l'euro a légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD se laissant saper 0.02% pour hoqueter à 1.3565.
Des chiffres officiels avaient auparavant indiqué que le déficit du compte courant de la zone euro avait augmenté en décembre de manière surprenante.
Le billet vert a toutefois cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.2% pour se hisser à 1.6128.
Andrew Sentence, membre du comité directeur de la Banque d'Angleterre, avait déclaré ce matin que cette dernière devait augmenter les taux d'intérêt pour donner un coup de fouet à la monnaie du Royaume-Uni et contenir la pression inflationniste.
Il a d'autre part subi la la force du yen et du franc suisse, l'USD/JPY glissant de 0.12% pour se retrouver à 83.56 et l'USD/CHF cédant 0.37% pour tomber à 0.9558.
La devise des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD chutant de 0.2% pour aller vers 0.9826, l'AUD/USD arrachant 0.14% pour monter à 1.0045 et le NZD/USD sapant 0.08% pour culminer à 0.7553.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.09%.
Les Etats-Unis devaient également dévoiler le nombre des nouvelles inscriptions au chômage en cours de journée.