Investing.com - L'euro a fait ieux que résister au dollar U.S. ce vendredi matin, approchant un sommet de sept semaines grâce aux belles performances allemandes de la veille, tandis que son adversaire pâtissait des rumeurs sur les orientations futures de son émettrice.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3391 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3389, frémissant de 0,07%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3321, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3416, son plafond du 19 juin.
La monnaie unique avait repris du mordant après que l'Allemagne ait signalé jeudi 0,6% d'exportations mensuelles supplémentaires pour juin, mais aussi 0,8% d'importations en moins, laissant redouter un dégonflement de la demande nationale.
Le moral est aussi remonté après qu'il ait été signalé ce vendredi que la production industrielle de la Chine avait gonflé de 9,7% en juillet, au lieu des 9,0% attendus, dissipant ainsi le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Mais le billet vert demeurait sur la sellette après que deux hauts responsables de la Réserve Fédérale aient rappelé mardi qu'ils ne pouvaient pas exclure une diminution de ses coups de pouce dès sa réunion de septembre.
L'euro n'a par ailleurs guère cédé de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,01% pour glisser à 0,8611.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3391 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3389, frémissant de 0,07%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3321, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3416, son plafond du 19 juin.
La monnaie unique avait repris du mordant après que l'Allemagne ait signalé jeudi 0,6% d'exportations mensuelles supplémentaires pour juin, mais aussi 0,8% d'importations en moins, laissant redouter un dégonflement de la demande nationale.
Le moral est aussi remonté après qu'il ait été signalé ce vendredi que la production industrielle de la Chine avait gonflé de 9,7% en juillet, au lieu des 9,0% attendus, dissipant ainsi le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Mais le billet vert demeurait sur la sellette après que deux hauts responsables de la Réserve Fédérale aient rappelé mardi qu'ils ne pouvaient pas exclure une diminution de ses coups de pouce dès sa réunion de septembre.
L'euro n'a par ailleurs guère cédé de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,01% pour glisser à 0,8611.