Investing.com - Les options sur l'or oscillait du coup entre légers gains et pertes minimes ce mercredi matin, sur fond d'incertitudes persistantes sur le moment où la banque centrale des Etats-Unis entamera la réduction de ses aides mensuelles.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.321,00 USD de l'once en début de séance européenne, grignotant 0,05.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1.315,40 USD, leur pire cours journalier, et 1.324,60 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.282,80 USD, leur plancher du 8 août, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.357,85 USD, leur plafond du 23 juillet.
La session précédente les avait vus conclure à 1.320,50 USD, en repli de 1%, après que les résultats commerciaux des Etats-Unis se soient avérés assez bons pour conforter l'idée d'une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Le département d'état au commerce américain a en effet révélé que les ventes auprès des particuliers avaient augmenté de 0,2% le mois passé, et que celles de base, excluant le commerce des véhicules, avaient progressé de 0,5%, leur meilleure percée en sept mois.
Les Etats-Unis comptaient aussi faire connaître en cours de semaine une série de statistiques portant notamment sur l'inflation, la production industrielle, les lancements de chantiers et la confiance de leurs consommateurs.
L'attention était désormais rivée sur ces prochains résultats, en quête d'indices sur leurs orientations futures.
Toute amélioration renforcerait les chances d'une diminution des apports de capitaux de leur autorité monétaire.
Les cours semblent être partis pour subir près de 21% de pertes sur l'année, en raison de la crainte d'une réduction des perfusions d'argent frais.
Une telle éventualité nuirait fortement au métal précieux, sa valeur ayant profité de la demande provenant des investisseurs désireux de se prémunir des risques d'inflation découlant de politiques monétaires assouplies.
Les futures sur l'argent pour ont par ailleurs stagné autour des 21,35 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont trébuché de 0,2% pour se retrouver à 3,311 USD la livre dans le même temps.
Les premières évaluations dévoilées en début de journée avaient montré que l'économie française s'était renforcée de 0,5% entre début avril et fin juin, après deux trimestres de rétraction, au lieu des 0,2% espérés.
Il était aussi à noter que celle de l'Allemagne allait dans le même sens avec 0,7%, après les 0,1% des trois premiers mois de l'année, dépassant ainsi légèrement les 0,6% anticipés.
Bruxelles s'apprêtait à faire de même sous peu concernant l'ensemble du bloc ayant adopté la monnaie unique, avec l'espoir d'un retour, même modeste, en zone positive.
La région garde sa troisième part des besoins de la planète en métal rouge.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.321,00 USD de l'once en début de séance européenne, grignotant 0,05.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1.315,40 USD, leur pire cours journalier, et 1.324,60 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.282,80 USD, leur plancher du 8 août, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.357,85 USD, leur plafond du 23 juillet.
La session précédente les avait vus conclure à 1.320,50 USD, en repli de 1%, après que les résultats commerciaux des Etats-Unis se soient avérés assez bons pour conforter l'idée d'une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Le département d'état au commerce américain a en effet révélé que les ventes auprès des particuliers avaient augmenté de 0,2% le mois passé, et que celles de base, excluant le commerce des véhicules, avaient progressé de 0,5%, leur meilleure percée en sept mois.
Les Etats-Unis comptaient aussi faire connaître en cours de semaine une série de statistiques portant notamment sur l'inflation, la production industrielle, les lancements de chantiers et la confiance de leurs consommateurs.
L'attention était désormais rivée sur ces prochains résultats, en quête d'indices sur leurs orientations futures.
Toute amélioration renforcerait les chances d'une diminution des apports de capitaux de leur autorité monétaire.
Les cours semblent être partis pour subir près de 21% de pertes sur l'année, en raison de la crainte d'une réduction des perfusions d'argent frais.
Une telle éventualité nuirait fortement au métal précieux, sa valeur ayant profité de la demande provenant des investisseurs désireux de se prémunir des risques d'inflation découlant de politiques monétaires assouplies.
Les futures sur l'argent pour ont par ailleurs stagné autour des 21,35 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont trébuché de 0,2% pour se retrouver à 3,311 USD la livre dans le même temps.
Les premières évaluations dévoilées en début de journée avaient montré que l'économie française s'était renforcée de 0,5% entre début avril et fin juin, après deux trimestres de rétraction, au lieu des 0,2% espérés.
Il était aussi à noter que celle de l'Allemagne allait dans le même sens avec 0,7%, après les 0,1% des trois premiers mois de l'année, dépassant ainsi légèrement les 0,6% anticipés.
Bruxelles s'apprêtait à faire de même sous peu concernant l'ensemble du bloc ayant adopté la monnaie unique, avec l'espoir d'un retour, même modeste, en zone positive.
La région garde sa troisième part des besoins de la planète en métal rouge.