Investing.com - Le dollar U.S. était mi-figue, mi-raisin face à la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, sur fond de bruits savamment distillés concernant une éventuelle diminution des coups de pouce de son émettrice, son homologue d'outre-Atlantique profitant du fait que l'autorité monétaire germanique ait déclaré que les informations sur les évolutions futures des taux de la Banque Centrale Européenne ne constituaient pas un "engagement inconditionnel".
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,18% pour grimper à 1,3350.
La Bundesbank a en effet estimé dans son rapport mensuel que l'Allemagne et les membres de la zone euro tireraient les fruits des taux plancher offerts par la BCE, tout en rappelant que sa décision de leur maintien à leur plus bas niveau historique dépendrait fortement des perspectives d'inflation à moyen terme.
Elle a ajouté s'attendre à ce que la croissance retrouve son "rythme de croisière" au second semestre, après qu'il ait été montré la semaine passée qu'elle avait dépassé les espérances avec 0,7% pour le second trimestre.
Il n'en allait pas de même avec le yen, l'USD/JPY frémissant de 0,31% pour se retrouver à 97,91.
La monnaie nippone avait vu son blason terni après que le Japon ait enregistré à l'aube pour son commerce extérieur un déficit de 1,024 billions de JPY, dépassant ainsi les craintes pour juillet, les exportations bondissant de 12,2% d'une année sur l'autre grâce à l'affaiblissement du yen, et les importations de 19,6% sur la même période.
Les observateurs guettent aussi pour après-demain la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la banque centrale des Etats-Unis, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant une telle éventualité dès septembre avaient en effet enflé la semaine passée, après que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage américain aient plongé à leur plus bas niveau en près de six ans.
Le billet vert a cependant cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,14% pour se hisser à 1,5645, aux abords d'une ornière de deux mois.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait populaire après qu'il ait été signalé la semaine dernière que le nombre des nouveaux demandeurs d'emploi le mois passé, alors que les ventes au détail dépassaient les espérances, renforçant les espoirs de relance nationale.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF dérapant de 0,12% pour pointer à 0,9253.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,41% pour monter à 0,9144, le NZD/USD engrangeant 0,04% pour culminer à 0,8107 et l'USD/CAD régressant de 0,08% pour aller vers 1,0330.
Les autorités de Nouvelle-Zélande avaient auparavant fait savoi que les prix à la consommation avaient sans surprise augmenté de 0,6% au second trimestre.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,09% pour se situer à 81,27.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,18% pour grimper à 1,3350.
La Bundesbank a en effet estimé dans son rapport mensuel que l'Allemagne et les membres de la zone euro tireraient les fruits des taux plancher offerts par la BCE, tout en rappelant que sa décision de leur maintien à leur plus bas niveau historique dépendrait fortement des perspectives d'inflation à moyen terme.
Elle a ajouté s'attendre à ce que la croissance retrouve son "rythme de croisière" au second semestre, après qu'il ait été montré la semaine passée qu'elle avait dépassé les espérances avec 0,7% pour le second trimestre.
Il n'en allait pas de même avec le yen, l'USD/JPY frémissant de 0,31% pour se retrouver à 97,91.
La monnaie nippone avait vu son blason terni après que le Japon ait enregistré à l'aube pour son commerce extérieur un déficit de 1,024 billions de JPY, dépassant ainsi les craintes pour juillet, les exportations bondissant de 12,2% d'une année sur l'autre grâce à l'affaiblissement du yen, et les importations de 19,6% sur la même période.
Les observateurs guettent aussi pour après-demain la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la banque centrale des Etats-Unis, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant une telle éventualité dès septembre avaient en effet enflé la semaine passée, après que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage américain aient plongé à leur plus bas niveau en près de six ans.
Le billet vert a cependant cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,14% pour se hisser à 1,5645, aux abords d'une ornière de deux mois.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait populaire après qu'il ait été signalé la semaine dernière que le nombre des nouveaux demandeurs d'emploi le mois passé, alors que les ventes au détail dépassaient les espérances, renforçant les espoirs de relance nationale.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF dérapant de 0,12% pour pointer à 0,9253.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,41% pour monter à 0,9144, le NZD/USD engrangeant 0,04% pour culminer à 0,8107 et l'USD/CAD régressant de 0,08% pour aller vers 1,0330.
Les autorités de Nouvelle-Zélande avaient auparavant fait savoi que les prix à la consommation avaient sans surprise augmenté de 0,6% au second trimestre.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,09% pour se situer à 81,27.