Investing.com - Le dollar U.S. restait modérément en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, malgré la bonne nouvelle de la sortie de récession européenne au second trimestre, après 18 mois de vaches maigres.
En première partie de séance européenne, il a pris l'avantage sur l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0,12% pour se retrouver à 1,3245.
Ce dernier se maintenait toutefois au-dessus de son seuil de soutien crucial à 1,3200, après que l'agence Eurostat ait mesuré une expansion de 0,3% de l'économie du bloc ayant adopté la monnaie unique du début avril à la fin juin.
Les experts ne pensaient pourtant pas la voir dépasser les 0,2% anticipés.
Les premières évaluations dévoilées en début de journée avaient montré que la France avait réalisé une croissance trimestrielle de 0,5% entre début avril et fin juin, après deux trimestres de rétraction, et que celle de l'Allemagne causait aussi une bonne surprise avec 0,7%.
Le billet vert gardait cependant des couleurs, après que les résultats commerciaux des Etats-Unis se soient avérés assez bons pour conforter l'idée d'une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Il a ainsi à peine fléchi devant le yen, l'USD/JPY laissant échapper 0,03% pour glisser à 98,18.
Le billet vert a aussi cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grimpant de 0,15% pour grimper à 1,5471.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé du mordant après que le bureau britannique des statistiques ait constaté que le taux de chômage s'était stabilisé à 7,8% comme prévu pour juin, mais dénombré 29.200 inscriptions de demandeurs d'emploi de moins pour ce mois-ci, au lieu des 15.000 espérées.
Le compte-rendu de la plus récente prise de cap de la Banque d'Angleterre a toutefois indiqué que se décision de fournir des indications sur les évolutions futures des taux d'intérêt n'avait pas été unanime.
Elle avait annoncé la semaine passée son intention de maintenir les coûts des emprunts consentis aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps jusqu'à ce que le chômage britannique repasse sous la barre des 7%.
Mais elle a précisé que trois conditions pourraient cependant aller à l'encontre de cet engagement, et notamment si l'inflation à moyen terme devait dépasser 2,5% sur 18 à 24 mois.
Martin Weale est le seul membre de son conseil à avoir été favorable à une période plus resserrée, tout en acceptant le principe général de la divulgation des intentions.
Le franc suisse a par contre subi sa pression, l'USD/CHF prenant 0,41% pour culminer à 0,9370.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD cédant 0,03% pour se retrouver à 0,9108, le NZD/USD arrachant 0,60% pour caracoler à 0,8011 et l'USD/CAD prenant 0,02% pour monter à 1,0348.
Les autorités avaient mis en relief à l'aube une poussée de 1,7% des ventes auprès des particuliers en Nouvelle-Zélande, surpassant nettement les 1,4% pressentis, et il en allait de même sur le front des produits de base, avec 2,3%.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,07% pour se situer à 81,85.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec l'inflation de leurs prix à la production.
En première partie de séance européenne, il a pris l'avantage sur l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0,12% pour se retrouver à 1,3245.
Ce dernier se maintenait toutefois au-dessus de son seuil de soutien crucial à 1,3200, après que l'agence Eurostat ait mesuré une expansion de 0,3% de l'économie du bloc ayant adopté la monnaie unique du début avril à la fin juin.
Les experts ne pensaient pourtant pas la voir dépasser les 0,2% anticipés.
Les premières évaluations dévoilées en début de journée avaient montré que la France avait réalisé une croissance trimestrielle de 0,5% entre début avril et fin juin, après deux trimestres de rétraction, et que celle de l'Allemagne causait aussi une bonne surprise avec 0,7%.
Le billet vert gardait cependant des couleurs, après que les résultats commerciaux des Etats-Unis se soient avérés assez bons pour conforter l'idée d'une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Il a ainsi à peine fléchi devant le yen, l'USD/JPY laissant échapper 0,03% pour glisser à 98,18.
Le billet vert a aussi cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grimpant de 0,15% pour grimper à 1,5471.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé du mordant après que le bureau britannique des statistiques ait constaté que le taux de chômage s'était stabilisé à 7,8% comme prévu pour juin, mais dénombré 29.200 inscriptions de demandeurs d'emploi de moins pour ce mois-ci, au lieu des 15.000 espérées.
Le compte-rendu de la plus récente prise de cap de la Banque d'Angleterre a toutefois indiqué que se décision de fournir des indications sur les évolutions futures des taux d'intérêt n'avait pas été unanime.
Elle avait annoncé la semaine passée son intention de maintenir les coûts des emprunts consentis aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps jusqu'à ce que le chômage britannique repasse sous la barre des 7%.
Mais elle a précisé que trois conditions pourraient cependant aller à l'encontre de cet engagement, et notamment si l'inflation à moyen terme devait dépasser 2,5% sur 18 à 24 mois.
Martin Weale est le seul membre de son conseil à avoir été favorable à une période plus resserrée, tout en acceptant le principe général de la divulgation des intentions.
Le franc suisse a par contre subi sa pression, l'USD/CHF prenant 0,41% pour culminer à 0,9370.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD cédant 0,03% pour se retrouver à 0,9108, le NZD/USD arrachant 0,60% pour caracoler à 0,8011 et l'USD/CAD prenant 0,02% pour monter à 1,0348.
Les autorités avaient mis en relief à l'aube une poussée de 1,7% des ventes auprès des particuliers en Nouvelle-Zélande, surpassant nettement les 1,4% pressentis, et il en allait de même sur le front des produits de base, avec 2,3%.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,07% pour se situer à 81,85.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec l'inflation de leurs prix à la production.