Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi matin, subissait un regain de doute concernant le moment où son émettrice commencera à fermer les robinets, tandis que son homologue européen gardait des partisans après que la région où elle a cours ait sorti la tête de l'eau, après 18 mois de vaches maigres.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,27% pour se retrouver à 97,86.
Taro Aso, ministre des finances du Japon, avait déclaré à l'aube qu'une réduction des impôts des grandes entreprises n'aurait pas d'impact immédiat sur l'économie, profitant ainsi à la devise du pays.
Le billet vert avait quand à lui vu hier son blason terni par le doute sur la capacité des reins de la relance nationale à encaisser une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,13% pour grimper à 1,3292.
La monnaie unique gardait des partisans suite à l'expansion de 0,3% que l'économie l'ayant adoptée avait connue du début avril à la fin juin, constituant ainsi sa meilleure performance depuis les trois premiers mois de l'année 2011.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,30% pour se hisser à 1,5545, dans l'expectative de la divulgation imminente du volume des ventes britanniques.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,29% pour tomber à 0,9328, aux abords d'un creux journalier.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,66% pour monter à 0,9181, le NZD/USD engrangeant 0,73% pour culminer à 0,8086 et l'USD/CAD régressant de 0,32% pour aller vers 1,0306.
La second avait repris du poil de la bête après que le groupe d'études Business New Zealand ait vu son indice de l'activité du secteur secondaire passer de 54,7 à 59,5 pour juillet.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,26% pour se situer à 81,55.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec une série de statistiques portant notamment sur l'inflation au détail, les inscriptions au chômage, la production industrielle, et enfin les résultats manufacturiers émanant des réserves fédérales de New York et Philadelphie.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,27% pour se retrouver à 97,86.
Taro Aso, ministre des finances du Japon, avait déclaré à l'aube qu'une réduction des impôts des grandes entreprises n'aurait pas d'impact immédiat sur l'économie, profitant ainsi à la devise du pays.
Le billet vert avait quand à lui vu hier son blason terni par le doute sur la capacité des reins de la relance nationale à encaisser une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,13% pour grimper à 1,3292.
La monnaie unique gardait des partisans suite à l'expansion de 0,3% que l'économie l'ayant adoptée avait connue du début avril à la fin juin, constituant ainsi sa meilleure performance depuis les trois premiers mois de l'année 2011.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,30% pour se hisser à 1,5545, dans l'expectative de la divulgation imminente du volume des ventes britanniques.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,29% pour tomber à 0,9328, aux abords d'un creux journalier.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,66% pour monter à 0,9181, le NZD/USD engrangeant 0,73% pour culminer à 0,8086 et l'USD/CAD régressant de 0,32% pour aller vers 1,0306.
La second avait repris du poil de la bête après que le groupe d'études Business New Zealand ait vu son indice de l'activité du secteur secondaire passer de 54,7 à 59,5 pour juillet.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,26% pour se situer à 81,55.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec une série de statistiques portant notamment sur l'inflation au détail, les inscriptions au chômage, la production industrielle, et enfin les résultats manufacturiers émanant des réserves fédérales de New York et Philadelphie.