Investing.com - Le dollar U.S. a retrouvé du mordant face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, notamment par rapport à ses homologues européen et nippon, les statistiques sur l'inflation pour juillet ayant confirmé que la relance se renforçait là où il a cours.
En seconde partie de séance européenne, il s'est élevé vers un pic journalier contre l'euro, l'EUR/USD perdant 0,12% pour chuter à 1,3239.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet constaté que les prix au détail avaient sans surprise augmenté de 0,2% après ajustement.
Ceux de base, excluant les coûts de la nourriture de l'énergie en raison de leur volatilité, frémissaient aussi de 0,2% dans le même temps.
Il a d'autre part dénombré 15.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 10 août, pour un total hebdomadaire de 320.000 après correction saisonnière, le plus bas depuis janvier 2008.
Ces résutats ont du coup rassuré sur la capacité des reins de la relance nationale à absorber une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY avançant de 0,41% pour se retrouver à 98,52.
Taro Aso, ministre des finances du Japon, avait déclaré à l'aube qu'une réduction des impôts des grandes entreprises n'aurait pas d'impact immédiat sur l'économie, profitant ainsi à la devise du pays.
Il a d'autre part limité les dégâts infligés par la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,20% pour se hisser à 1,5528, après avoir établi son sommet le plus élevé en deux mois à 1,5594.
Le couple avait bondi après que les autorités britanniques aient constaté de belles performances commerciales, dépassant largement les prédictions pour juin.
Le bureau des statistiques du Royaume-Uni a en effet constaté un bond de 1,1% des ventes au détail pour juillet, soit près du double des 0,6% espérés, et un gonflement de 3% d'une année sur l'autre, le beau temps estival ayant encouragé la consommation de nourriture, d'alcool, de vêtements et d'articles de plein air.
L'euro n'était pas en reste, l'EUR/USD gagnant 0,32% pour grimper à 1,3299.
La monnaie unique gardait des partisans suite à l'expansion de 0,3% que l'économie l'ayant adoptée avait connue du début avril à la fin juin, constituant ainsi sa meilleure performance depuis les trois premiers mois de l'année 2011.
Le franc suisse a fini par subir sa pression, l'USD/CHF prenant 0,33% pour caracoler à 0,9386.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD dérapant de 0,26% pour sombrer à 0,9095, le NZD/USD n'arrachant que 0,01% pour culminer à 0,8027 et l'USD/CAD progressant de 0,08% pour aller vers 1,0348.
La seconde paire avait repris du poil de la bête après que le groupe d'études Business New Zealand ait vu son indice de l'activité du secteur secondaire passer de 54,7 à 59,5 pour juillet.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui de 0,23% pour se situer à 81,92.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec des statistiques portant notamment sur la production industrielle, ainsi que les résultats manufacturiers émanant des réserves fédérales de New York et Philadelphie.
En seconde partie de séance européenne, il s'est élevé vers un pic journalier contre l'euro, l'EUR/USD perdant 0,12% pour chuter à 1,3239.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet constaté que les prix au détail avaient sans surprise augmenté de 0,2% après ajustement.
Ceux de base, excluant les coûts de la nourriture de l'énergie en raison de leur volatilité, frémissaient aussi de 0,2% dans le même temps.
Il a d'autre part dénombré 15.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 10 août, pour un total hebdomadaire de 320.000 après correction saisonnière, le plus bas depuis janvier 2008.
Ces résutats ont du coup rassuré sur la capacité des reins de la relance nationale à absorber une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY avançant de 0,41% pour se retrouver à 98,52.
Taro Aso, ministre des finances du Japon, avait déclaré à l'aube qu'une réduction des impôts des grandes entreprises n'aurait pas d'impact immédiat sur l'économie, profitant ainsi à la devise du pays.
Il a d'autre part limité les dégâts infligés par la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,20% pour se hisser à 1,5528, après avoir établi son sommet le plus élevé en deux mois à 1,5594.
Le couple avait bondi après que les autorités britanniques aient constaté de belles performances commerciales, dépassant largement les prédictions pour juin.
Le bureau des statistiques du Royaume-Uni a en effet constaté un bond de 1,1% des ventes au détail pour juillet, soit près du double des 0,6% espérés, et un gonflement de 3% d'une année sur l'autre, le beau temps estival ayant encouragé la consommation de nourriture, d'alcool, de vêtements et d'articles de plein air.
L'euro n'était pas en reste, l'EUR/USD gagnant 0,32% pour grimper à 1,3299.
La monnaie unique gardait des partisans suite à l'expansion de 0,3% que l'économie l'ayant adoptée avait connue du début avril à la fin juin, constituant ainsi sa meilleure performance depuis les trois premiers mois de l'année 2011.
Le franc suisse a fini par subir sa pression, l'USD/CHF prenant 0,33% pour caracoler à 0,9386.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD dérapant de 0,26% pour sombrer à 0,9095, le NZD/USD n'arrachant que 0,01% pour culminer à 0,8027 et l'USD/CAD progressant de 0,08% pour aller vers 1,0348.
La seconde paire avait repris du poil de la bête après que le groupe d'études Business New Zealand ait vu son indice de l'activité du secteur secondaire passer de 54,7 à 59,5 pour juillet.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui de 0,23% pour se situer à 81,92.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec des statistiques portant notamment sur la production industrielle, ainsi que les résultats manufacturiers émanant des réserves fédérales de New York et Philadelphie.