Investing.com - L'euro a à peine pris l'avantage sur le dollar U.S. ce mardi matin, mais son avancée demeurait jugulée par les incertitudes concernant le moment où la banque centrale des Etats-Unis commencera à diminuer l'ampleur de ses coups de pouce.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3356 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3345, fréissant de 0,08%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3310, son plancher du 16 août, et de rencontrer de la résistance à 1,3376, son plafond établi le même jour.
Les observateurs guettaient en effet pour demain la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la Réserve Fédérale, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant une telle éventualité dès septembre avaient en effet enflé la semaine passée, après que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage américain aient plongé à leur plus bas niveau en près de six ans.
La monnaie unique gardait cependant du mordant après que l'autorité monétaire germanique ait déclaré hier que les informations sur les évolutions futures des coûts des emprunts proposés par son émettrice ne constituaient pas un "engagement inconditionnel".
La Bundesbank allemande a en effet estimé dans son rapport mensuel que le maintien des taux historiquement bas de la Banque Centrale Européenne, dépendrait fortement des perspectives d'inflation à moyen terme.
La devise européenne a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP arrachant 0,06% pour se hisser à 0,8526, mais pas sur le yen, l'EUR/JPY trébuchant de 0,17% pour glisser à 129,88.
Une étude officielle avait cependant souligné en début de journée que les prix à la production de l'Allemagne avaient trébuché de 0,1% d'une mois sur l'autre en juillet, tout en gonflant de 0,5% annualisés, alors que des augmentations de 0,2% mensuels et 0,7% annuels étaient anticipées.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3356 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3345, fréissant de 0,08%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3310, son plancher du 16 août, et de rencontrer de la résistance à 1,3376, son plafond établi le même jour.
Les observateurs guettaient en effet pour demain la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la Réserve Fédérale, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant une telle éventualité dès septembre avaient en effet enflé la semaine passée, après que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage américain aient plongé à leur plus bas niveau en près de six ans.
La monnaie unique gardait cependant du mordant après que l'autorité monétaire germanique ait déclaré hier que les informations sur les évolutions futures des coûts des emprunts proposés par son émettrice ne constituaient pas un "engagement inconditionnel".
La Bundesbank allemande a en effet estimé dans son rapport mensuel que le maintien des taux historiquement bas de la Banque Centrale Européenne, dépendrait fortement des perspectives d'inflation à moyen terme.
La devise européenne a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP arrachant 0,06% pour se hisser à 0,8526, mais pas sur le yen, l'EUR/JPY trébuchant de 0,17% pour glisser à 129,88.
Une étude officielle avait cependant souligné en début de journée que les prix à la production de l'Allemagne avaient trébuché de 0,1% d'une mois sur l'autre en juillet, tout en gonflant de 0,5% annualisés, alors que des augmentations de 0,2% mensuels et 0,7% annuels étaient anticipées.