Investing.com - Le dollar U.S. a vu fondre l'avance creusée face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, dans le sillage de la publication des chiffres de l'inflation là où il a cours.
En seconde partie de séance européenne, il a nettement moins pris l'avantage sur l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0,02% pour se retrouver à 1,3258, après avoir dérapé jusqu'à 1,3239.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet révélé que les couts de production avaient été stables le mois passé, alors que 0,3% supplémentaires étaient prédits.
L'indice des prix à la production de base frémissait par contre de 0,1%, mais se retrouvant là aussi inférieur aux 0,2% avancés.
Ces résutats ont du coup semé le doute sur la solidité de la relance nationale, sapant ainsi l'idée d'une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Son adversaire européen avait perdu des plumes malgré la bonne nouvelle de la sortie de récession de la région où il a cours au second trimestre, après 18 mois de vaches maigres.
L'agence Eurostat a ainsi mesuré une expansion de 0,3% de l'économie du bloc ayant adopté la monnaie unique du début avril à la fin juin, alors que les experts ne pensaient pourtant pas la voir dépasser les 0,2% anticipés, réalisant ainsi sa meilleure performances depuis les trois premiers mois de l'année 2011.
Les premières évaluations dévoilées en début de journée avaient montré que la France avait réalisé une croissance trimestrielle de 0,5% entre début avril et fin juin, après deux trimestres de rétraction, et que celle de l'Allemagne constituait elle aussi une bonne surprise avec 0,7%.
Il a ainsi à peine fléchi devant le yen, l'USD/JPY laissant échapper 0,08% pour glisser à 98,12.
Le billet vert a aussi cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grimpant de 0,40% pour grimper à 1,5510.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé du mordant après que le bureau britannique des statistiques ait constaté que le taux de chômage s'était stabilisé à 7,8% comme prévu pour juin, mais dénombré 29.200 inscriptions de demandeurs d'emploi de moins pour ce mois-ci, au lieu des 15.000 espérées.
Le compte-rendu de la plus récente prise de cap de la Banque d'Angleterre a toutefois indiqué que se décision de fournir des indications sur les évolutions futures des taux d'intérêt n'avait pas été unanime.
Elle avait annoncé la semaine passée son intention de maintenir les coûts des emprunts consentis aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps jusqu'à ce que le chômage britannique repasse sous la barre des 7%.
Mais elle a précisé que trois conditions pourraient cependant aller à l'encontre de cet engagement, et notamment si l'inflation à moyen terme devait dépasser 2,5% sur 18 à 24 mois.
Martin Weale est le seul membre de son conseil à avoir été favorable à une période plus resserrée, tout en acceptant le principe général de la divulgation des intentions.
Le franc suisse a moins subi sa pression, l'USD/CHF prenant 0,27% pour culminer à 0,9358.
La monnaie des Etats-Unis s'est par ailleurs mise à être dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD empochant 0,13% pour se retrouver à 0,9123, le NZD/USD arrachant 0,85% pour caracoler à 0,8031 et l'USD/CAD laissant filer 0,11% pour descendre à 1,0332.
Les autorités avaient mis en relief à l'aube une poussée de 1,7% des ventes auprès des particuliers en Nouvelle-Zélande, surpassant nettement les 1,4% pressentis, et il en allait de même sur le front des produits de base, avec 2,3%.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,01% pour se situer à 81,78.
En seconde partie de séance européenne, il a nettement moins pris l'avantage sur l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0,02% pour se retrouver à 1,3258, après avoir dérapé jusqu'à 1,3239.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet révélé que les couts de production avaient été stables le mois passé, alors que 0,3% supplémentaires étaient prédits.
L'indice des prix à la production de base frémissait par contre de 0,1%, mais se retrouvant là aussi inférieur aux 0,2% avancés.
Ces résutats ont du coup semé le doute sur la solidité de la relance nationale, sapant ainsi l'idée d'une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Son adversaire européen avait perdu des plumes malgré la bonne nouvelle de la sortie de récession de la région où il a cours au second trimestre, après 18 mois de vaches maigres.
L'agence Eurostat a ainsi mesuré une expansion de 0,3% de l'économie du bloc ayant adopté la monnaie unique du début avril à la fin juin, alors que les experts ne pensaient pourtant pas la voir dépasser les 0,2% anticipés, réalisant ainsi sa meilleure performances depuis les trois premiers mois de l'année 2011.
Les premières évaluations dévoilées en début de journée avaient montré que la France avait réalisé une croissance trimestrielle de 0,5% entre début avril et fin juin, après deux trimestres de rétraction, et que celle de l'Allemagne constituait elle aussi une bonne surprise avec 0,7%.
Il a ainsi à peine fléchi devant le yen, l'USD/JPY laissant échapper 0,08% pour glisser à 98,12.
Le billet vert a aussi cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grimpant de 0,40% pour grimper à 1,5510.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé du mordant après que le bureau britannique des statistiques ait constaté que le taux de chômage s'était stabilisé à 7,8% comme prévu pour juin, mais dénombré 29.200 inscriptions de demandeurs d'emploi de moins pour ce mois-ci, au lieu des 15.000 espérées.
Le compte-rendu de la plus récente prise de cap de la Banque d'Angleterre a toutefois indiqué que se décision de fournir des indications sur les évolutions futures des taux d'intérêt n'avait pas été unanime.
Elle avait annoncé la semaine passée son intention de maintenir les coûts des emprunts consentis aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps jusqu'à ce que le chômage britannique repasse sous la barre des 7%.
Mais elle a précisé que trois conditions pourraient cependant aller à l'encontre de cet engagement, et notamment si l'inflation à moyen terme devait dépasser 2,5% sur 18 à 24 mois.
Martin Weale est le seul membre de son conseil à avoir été favorable à une période plus resserrée, tout en acceptant le principe général de la divulgation des intentions.
Le franc suisse a moins subi sa pression, l'USD/CHF prenant 0,27% pour culminer à 0,9358.
La monnaie des Etats-Unis s'est par ailleurs mise à être dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD empochant 0,13% pour se retrouver à 0,9123, le NZD/USD arrachant 0,85% pour caracoler à 0,8031 et l'USD/CAD laissant filer 0,11% pour descendre à 1,0332.
Les autorités avaient mis en relief à l'aube une poussée de 1,7% des ventes auprès des particuliers en Nouvelle-Zélande, surpassant nettement les 1,4% pressentis, et il en allait de même sur le front des produits de base, avec 2,3%.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,01% pour se situer à 81,78.