Investing.com - La livre sterling s'est hissée vers un sommet de deux mois face au dollar U.S. ce mardi, les incertitudes concernant les intentions de l'émettrice de son adversaire demeurant au premier plan.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5680 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 18 juin, puis s'est stabilisée vers 1,5678, prenant 0,19%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5608, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,5722, son plafond du 18 juin.
Les observateurs guettaient en effet pour demain la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la Réserve Fédérale, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
L'hypothèse d'une éventuelle fermeture des vannes de la banque centrale des Etats-Unis dès septembre avait été confortée après que son président Ben Bernanke ait déclaré la semaine passée qu'une telle décision dependrait des résultats économiques.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait populaire après qu'il ait été signalé la semaine dernière que le nombre des nouveaux demandeurs d'emploi et que les ventes au détail avaient été meilleurs qu'espéré lors du mois précédent, renforçant les espoirs de relance nationale.
Elle a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,09% pour se hisser à 0,8528.
La monnaie unique n'avait guère fait cas de l'étude officielle soulignant en début de journée que les prix à la production de l'Allemagne avaient trébuché de 0,1% d'une mois sur l'autre en juillet, tout en gonflant de 0,5% annualisés.
Des augmentations de 0,2% mensuels et 0,7% annuels avaient pourtant été anticipées par les experts.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5680 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 18 juin, puis s'est stabilisée vers 1,5678, prenant 0,19%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5608, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,5722, son plafond du 18 juin.
Les observateurs guettaient en effet pour demain la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la Réserve Fédérale, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
L'hypothèse d'une éventuelle fermeture des vannes de la banque centrale des Etats-Unis dès septembre avait été confortée après que son président Ben Bernanke ait déclaré la semaine passée qu'une telle décision dependrait des résultats économiques.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait populaire après qu'il ait été signalé la semaine dernière que le nombre des nouveaux demandeurs d'emploi et que les ventes au détail avaient été meilleurs qu'espéré lors du mois précédent, renforçant les espoirs de relance nationale.
Elle a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,09% pour se hisser à 0,8528.
La monnaie unique n'avait guère fait cas de l'étude officielle soulignant en début de journée que les prix à la production de l'Allemagne avaient trébuché de 0,1% d'une mois sur l'autre en juillet, tout en gonflant de 0,5% annualisés.
Des augmentations de 0,2% mensuels et 0,7% annuels avaient pourtant été anticipées par les experts.