Investing.com - Les bourses européennes ne se laissaient pas abattre ce vendredi, grâce notamment à des résultats espagnols encourageants, mais toute idée de flambée se trouvait étouffée par les négociations budgétaires de la dernière chance et par les craintes découlant de l'impasse politique italienne.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.13%, le CAC 40 français de 0.2%, et le DAX 30 allemand de 0.24%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet signalé que son indice de l'activité des usines espagnoles était remonté de 46.1 à 46.8 pour le mois dernier, dépassant ainsi les 46.5 espérés.
Mais la prudence restait de mise en raison du spectre d'une perturbation de la marche des réformes économiques italiennes découlant du manque de clarté des résultats des élections législatives.
La nervosité était d'autant plus intense qu'aux Etats-Unis, les élus démocrates et républicains n'ont pas réussi à établir un plan de réduction des déficits consensuel, menant ainsi le pays en direction 85 milliards d'USD de sabrages budgétaires automatiques.
Le président Barack Obama a toutefois invité les chefs des deux factions parlementaires à d'ultimes pourparlers à la Maison Blanche avant l'heure limite de 23h59 aujourd'hui.
La finance s'en ressentait, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank dégringolant respectivement de 0.57 et 1.88%, les français BNP Paribas et Société Générale limitant les dégâts avec 0.49 et 0.17%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA reculant de 0.37 et 0.24%, suivis des italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit avec 0.24 et 0.82%.
En Espagne, l'entrepreneur ACS a toutefois arraché 0.16% malgré des pertes se montant à 1.93 milliards d'euros pour l'année passée, et dépassant du coup les craintes des analystes, estimant que 1.31 milliards sur cette somme étaient imputables à la revente de ses parts d'Iberdola SA.
A Londres, le FTSE 100 se contenttait de grignoter 0.05%, dans l'attente des résultats manufacturiers britanniques imminents.
Les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivaient le chemin tracé par leurs homologues continentaux, HSBC Holdings en repli de 0.47%, et Barclays de 0.41%, Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland se retrouvant en queue de peloton avec 2.26 et 2.59%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant 0.8 et 1.23%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata faisant encore pire avec 4.2 et 3.4%.
Mais tout n'était pas désespéré, WPP Plc, plus grosse agence de publicité mondiale, frémissant de 0.09% après avoir revendiqué 7.1% de rentrées supplémentaires pour 2012, ses marges ayant augmenté grâce à des investissements supplémentaires dans le domaine numérique et sur les marchés émergents.
Les perspectives des marchés américains étaient pour leur part modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.07% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.05%.
Une étude officielle avait auparavant signalé que les ventes au détail allemandes avaient grimpé de 3.1% en janvier, soit plus du triple des 1% espérés, après avoir pourtant précédemment fondu de 2.1%.
La zone euro comptait dévoiler aujourd'hui l'évaluation préliminaire de son évolution des prix à la consommation.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec le baromètre de l'institut de gestion des approvisionnements portant sur l'état de leur secteur secondaire, le volume des dépenses individuelles et le moral des consommateurs révisé par l'université du Michigan.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.13%, le CAC 40 français de 0.2%, et le DAX 30 allemand de 0.24%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet signalé que son indice de l'activité des usines espagnoles était remonté de 46.1 à 46.8 pour le mois dernier, dépassant ainsi les 46.5 espérés.
Mais la prudence restait de mise en raison du spectre d'une perturbation de la marche des réformes économiques italiennes découlant du manque de clarté des résultats des élections législatives.
La nervosité était d'autant plus intense qu'aux Etats-Unis, les élus démocrates et républicains n'ont pas réussi à établir un plan de réduction des déficits consensuel, menant ainsi le pays en direction 85 milliards d'USD de sabrages budgétaires automatiques.
Le président Barack Obama a toutefois invité les chefs des deux factions parlementaires à d'ultimes pourparlers à la Maison Blanche avant l'heure limite de 23h59 aujourd'hui.
La finance s'en ressentait, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank dégringolant respectivement de 0.57 et 1.88%, les français BNP Paribas et Société Générale limitant les dégâts avec 0.49 et 0.17%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA reculant de 0.37 et 0.24%, suivis des italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit avec 0.24 et 0.82%.
En Espagne, l'entrepreneur ACS a toutefois arraché 0.16% malgré des pertes se montant à 1.93 milliards d'euros pour l'année passée, et dépassant du coup les craintes des analystes, estimant que 1.31 milliards sur cette somme étaient imputables à la revente de ses parts d'Iberdola SA.
A Londres, le FTSE 100 se contenttait de grignoter 0.05%, dans l'attente des résultats manufacturiers britanniques imminents.
Les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivaient le chemin tracé par leurs homologues continentaux, HSBC Holdings en repli de 0.47%, et Barclays de 0.41%, Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland se retrouvant en queue de peloton avec 2.26 et 2.59%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant 0.8 et 1.23%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata faisant encore pire avec 4.2 et 3.4%.
Mais tout n'était pas désespéré, WPP Plc, plus grosse agence de publicité mondiale, frémissant de 0.09% après avoir revendiqué 7.1% de rentrées supplémentaires pour 2012, ses marges ayant augmenté grâce à des investissements supplémentaires dans le domaine numérique et sur les marchés émergents.
Les perspectives des marchés américains étaient pour leur part modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.07% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.05%.
Une étude officielle avait auparavant signalé que les ventes au détail allemandes avaient grimpé de 3.1% en janvier, soit plus du triple des 1% espérés, après avoir pourtant précédemment fondu de 2.1%.
La zone euro comptait dévoiler aujourd'hui l'évaluation préliminaire de son évolution des prix à la consommation.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec le baromètre de l'institut de gestion des approvisionnements portant sur l'état de leur secteur secondaire, le volume des dépenses individuelles et le moral des consommateurs révisé par l'université du Michigan.