Les grandes places européennes connaissent une certaine déprime ce jeudi (-1,4% à Londres et à Francfort, -1,5% à Paris) au lendemain d'un rendez-vous de la Fed clairement sanctionné par Wall Street (-1,5% sur le Dow Jones, -2,2% sur le Nasdaq).
'Comme attendu, la Fed a relevé son taux directeur pour la quatrième fois cette année et en projette deux autres pour 2019, au lieu de trois selon l'estimation médiane de novembre', rappelle Wells Fargo (NYSE:WFC) Advisors.
'Toutefois, le communiqué a noté des attentes pour 'quelques augmentations graduelles supplémentaires', ce qui a déclenché la crainte des investisseurs d'un rythme de durcissement pouvant être trop agressif', poursuit-il.
'Il n'y a pas de nette inflexion du discours du Fed malgré les inquiétudes sur la croissance exprimées par les marchés et la 'pression' présidentielle', constate Aurel BGC, notant que la réduction de la taille du bilan de la banque centrale sera poursuivie en 2019.
Cet après-midi aux Etats-Unis, seront publiés les inscriptions hebdomadaires aux allocations chômage et l'indice de la Fed de Philadelphie, puis les indicateurs avancés du Conference Board pour le mois de novembre.
Du côté des valeurs, Renault (PA:RENA) perd 2,1% à Paris alors que le constructeur automobile a signé un accord avec le chinois JMCG pour prendre une participation significative dans JMEV, sa filiale de véhicules électriques.
Shell (AS:RDSa) perd 1,6% à Londres, alors que sa filiale Shell New Energies a créé avec EDF (PA:EDF) Renouvelables une coentreprise en Amérique du Nord pour le développement d'un site dans la zone d'énergie éolienne du New Jersey.
AB InBev perd 1,6% à Bruxelles après l'annonce d'un partenariat de recherche limité au Canada avec Tilray (NASDAQ:TLRY), sur des boissons non alcoolisées contenant du tétrahydrocannabinol (THC) et du cannabidiol (CBD).
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'Comme attendu, la Fed a relevé son taux directeur pour la quatrième fois cette année et en projette deux autres pour 2019, au lieu de trois selon l'estimation médiane de novembre', rappelle Wells Fargo (NYSE:WFC) Advisors.
'Toutefois, le communiqué a noté des attentes pour 'quelques augmentations graduelles supplémentaires', ce qui a déclenché la crainte des investisseurs d'un rythme de durcissement pouvant être trop agressif', poursuit-il.
'Il n'y a pas de nette inflexion du discours du Fed malgré les inquiétudes sur la croissance exprimées par les marchés et la 'pression' présidentielle', constate Aurel BGC, notant que la réduction de la taille du bilan de la banque centrale sera poursuivie en 2019.
Cet après-midi aux Etats-Unis, seront publiés les inscriptions hebdomadaires aux allocations chômage et l'indice de la Fed de Philadelphie, puis les indicateurs avancés du Conference Board pour le mois de novembre.
Du côté des valeurs, Renault (PA:RENA) perd 2,1% à Paris alors que le constructeur automobile a signé un accord avec le chinois JMCG pour prendre une participation significative dans JMEV, sa filiale de véhicules électriques.
Shell (AS:RDSa) perd 1,6% à Londres, alors que sa filiale Shell New Energies a créé avec EDF (PA:EDF) Renouvelables une coentreprise en Amérique du Nord pour le développement d'un site dans la zone d'énergie éolienne du New Jersey.
AB InBev perd 1,6% à Bruxelles après l'annonce d'un partenariat de recherche limité au Canada avec Tilray (NASDAQ:TLRY), sur des boissons non alcoolisées contenant du tétrahydrocannabinol (THC) et du cannabidiol (CBD).
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