Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture négative ce jeudi, le moral ayant fléchi après que le compte-rendu de la dernière réunion de la Réserve Fédérale ait étouffé l'espoir de nouveaux assouplissements pour renflouer la croissance.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.81%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.85% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.73%.
Il a en effet été signalé dans le procès-verbal de son conseil d'orientation de juin qu'il faudrait une poursuite de la perte de vitesse économique actuelle pour rendre ses membres davantage enclins à prendre des mesures destinées à donner un coup de fouet à la croissance.
Bien que certains d'entre eux aient déjà estimé qu'il était nécessaire de procéder à des assouplissements afin de remplir les objectifs de plein emploi et de stabilité des prix, d'autres estimaient que ceux-ci n'étaient justifiés qu'en cas de ralentissement de l'expansion de l'économie, d'augmentation des risques ou si l'inflation devait chuter "durablement" au-dessous de la valeur visée.
L'atmosphère s'était trouvée davantage assombrie par le bulletin mensuel de la Banque Centrale Européenne, confirmant que les risques baissiers s'étaient traduits dans les faits, et que la croissance régionale demeurerait faible.
La technologie était attendue sur le devant de la scène, les vendeurs opérant sur Taobao, première plate-forme de vente par Internet de Chine, semblant accepter les précommandes de la prochaine génération d'iPhones d'Apple, dont la sortie n'a pas encore eu lieu.
L'énergie était aussi sous les feux de l'actualité, la hausse du dollar U.S. pesant fortement sur les cours du pétrole, tandis que Centrica, déjà détenteur de British Gas, déclarait avoir accepté d'acheter deux fournisseurs d'électricité basés à New York et appartenant à Iberdola pour 110.2 millions d'USD en capitaux, afin de renforcer ses positions et augmenter ses parts de marché au nord-est des Etats-Unis.
Il se disait aussi que Direct Energy Services, la branche d'Amérique du Nord du fournisseur de services collectifs britannique, ferait de même avec Energetix et NYSEG Solutions, basés à Rochester et Binghamton, dans la région new-yorkaise.
Parmi les autres entreprises faisant l'actualité, l'assureur américain Cigna a signé l'achat de 51% de Finans Emeklilik, son collègue apartenant en totalité à Finansbank, pour 104 millions d'USD.
Du côté des performances, Marriott International, plus grosse chaîne d'hôtels cotée en bourse des Etats-Unis, s'est effondré de 2.29% après la fermeture après avoir revu vers le bas hier ses prévisions de croissance des rentrées par chambre disponible hors Amérique du Nord.
Les géant pharmaceutique Merck & Co. a pour sa part bondi de 4.22% avant l'ouverture après avoir révélé que l'étude clinique avancée de son nouveau traitement contre l'ostéoporose avait rempli ses objectifs d'efficacité, poussant le comité chargé d'en analyser les rasultats à y mettre fin plus vite que prévu.
Les bourses européennes étaient elles aussi nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 1.05%, le CAC 40 français de 0.73%, le DAX 30 allemand de 1.19% et le FTSE 100 britannique de 1.19%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait sombré de 1.65%, et le Nikkei 225 japonais de 1.5%.
Il avait d'autre part été souligné ce matin que la production industrielle de la zone euro avait augmenté en mai pour la première fois en trois mois, progressant de 0.6% alors que les experts craignaient de la voir perdre 0.1%.
Le gouvernement des Etats-Unis comptait quand à lui révéler dans l'après-midi le nombre des nouveaux inscrits au chômage et l'évolution des prix à l'importation.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.81%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.85% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.73%.
Il a en effet été signalé dans le procès-verbal de son conseil d'orientation de juin qu'il faudrait une poursuite de la perte de vitesse économique actuelle pour rendre ses membres davantage enclins à prendre des mesures destinées à donner un coup de fouet à la croissance.
Bien que certains d'entre eux aient déjà estimé qu'il était nécessaire de procéder à des assouplissements afin de remplir les objectifs de plein emploi et de stabilité des prix, d'autres estimaient que ceux-ci n'étaient justifiés qu'en cas de ralentissement de l'expansion de l'économie, d'augmentation des risques ou si l'inflation devait chuter "durablement" au-dessous de la valeur visée.
L'atmosphère s'était trouvée davantage assombrie par le bulletin mensuel de la Banque Centrale Européenne, confirmant que les risques baissiers s'étaient traduits dans les faits, et que la croissance régionale demeurerait faible.
La technologie était attendue sur le devant de la scène, les vendeurs opérant sur Taobao, première plate-forme de vente par Internet de Chine, semblant accepter les précommandes de la prochaine génération d'iPhones d'Apple, dont la sortie n'a pas encore eu lieu.
L'énergie était aussi sous les feux de l'actualité, la hausse du dollar U.S. pesant fortement sur les cours du pétrole, tandis que Centrica, déjà détenteur de British Gas, déclarait avoir accepté d'acheter deux fournisseurs d'électricité basés à New York et appartenant à Iberdola pour 110.2 millions d'USD en capitaux, afin de renforcer ses positions et augmenter ses parts de marché au nord-est des Etats-Unis.
Il se disait aussi que Direct Energy Services, la branche d'Amérique du Nord du fournisseur de services collectifs britannique, ferait de même avec Energetix et NYSEG Solutions, basés à Rochester et Binghamton, dans la région new-yorkaise.
Parmi les autres entreprises faisant l'actualité, l'assureur américain Cigna a signé l'achat de 51% de Finans Emeklilik, son collègue apartenant en totalité à Finansbank, pour 104 millions d'USD.
Du côté des performances, Marriott International, plus grosse chaîne d'hôtels cotée en bourse des Etats-Unis, s'est effondré de 2.29% après la fermeture après avoir revu vers le bas hier ses prévisions de croissance des rentrées par chambre disponible hors Amérique du Nord.
Les géant pharmaceutique Merck & Co. a pour sa part bondi de 4.22% avant l'ouverture après avoir révélé que l'étude clinique avancée de son nouveau traitement contre l'ostéoporose avait rempli ses objectifs d'efficacité, poussant le comité chargé d'en analyser les rasultats à y mettre fin plus vite que prévu.
Les bourses européennes étaient elles aussi nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 1.05%, le CAC 40 français de 0.73%, le DAX 30 allemand de 1.19% et le FTSE 100 britannique de 1.19%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait sombré de 1.65%, et le Nikkei 225 japonais de 1.5%.
Il avait d'autre part été souligné ce matin que la production industrielle de la zone euro avait augmenté en mai pour la première fois en trois mois, progressant de 0.6% alors que les experts craignaient de la voir perdre 0.1%.
Le gouvernement des Etats-Unis comptait quand à lui révéler dans l'après-midi le nombre des nouveaux inscrits au chômage et l'évolution des prix à l'importation.