Le titre du jour est un brin provocateur, tant les nuages s’amoncellent au-dessus de la zone Euro. La croissance de l’activité, et en particulier celle de la demande privée, est à la peine. Un chaos politique s’est installé en France et l’élection de Donald Trump a entraîné une défiance des investisseurs à l’égard du vieux continent. Dès lors, faut-il céder au pessimisme ambiant ? Y a-t-il, malgré tout, des raisons d’anticiper de bonnes nouvelles en 2025 pour la zone Euro ?