Les Bourses européennes commencent dans la morosité une semaine qui s'annonce chargée, entre les premières décisions de Donald Trump à la Maison Blanche, de nombreuses données macroéconomiques et la montée en puissance des publications de résultats.
Zurich perd 0,6%, Londres, Bruxelles et Madrid 0,5%, Paris et Amsterdam 0,4%, Francfort et Lisbonne 0,3%, tandis que Milan reste stable. A New York vendredi, le Dow Jones a terminé sur un gain de 0,5% et le Nasdaq, de 0,3%.
'Les investisseurs devraient focaliser leur attention sur les 'décrets' du nouveau président Trump, qui pourraient être publiés sur un rythme aussi soutenu que ses 'tweets' ! ', prévient un analyste d'Aurel BGC.
'Alors que la nomination de son gouvernement a pris du retard, M. Trump devra expliciter ces prochaines semaines ses projets de baisse d'impôts, de dépenses d'infrastructures et de déréglementation de certains secteurs', poursuit-il.
Aucune donnée n'est prévue ce lundi, mais les prochains jours seront chargés sur ce front avec notamment les indices PMI flash, puis les indicateurs avancés et surtout une toute première estimation de la croissance du quatrième trimestre aux Etats-Unis.
Cette semaine sera aussi marquée, la poursuite de la saison des résultats, avec par exemple McDonalds, Boeing (NYSE:BA), Intel (NASDAQ:INTC), Caterpillar (NYSE:CAT) et Alphabet aux Etats-Unis, ainsi que Philips, Novartis (SIX:NOVN), Unilever (LON:ULVR), LVMH (PA:LVMH) et UBS en Europe.
Pour l'heure, Philips Lightning recule de 0,8% à Amsterdam, bien que la société d'équipements d'éclairage ait vu sa marge opérationnelle progresser l'année dernière grâce à des réductions de dépenses qui ont plus que compensé la baisse de ses ventes.
Roche (SIX:ROG) perd 0,8% à Zurich alors que le laboratoire pharmaceutique vient de lancer une nouvelle solution de diagnostic pour les maladies du sang telles que l'anémie ou la leucémie, faisant entrer sa filiale Roche Diagnostics sur le marché de l'hématologie.
Credit Agricole (PA:CAGR) lâche 2% à Paris, sanctionné pour l'annonce vendredi soir d'une dépréciation de l'écart d'acquisition de 491 millions d'euros sur sa filiale LCL, charge qui n'affecte ni la solvabilité, ni la liquidité de la banque.
Copyright (c) 2017 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Zurich perd 0,6%, Londres, Bruxelles et Madrid 0,5%, Paris et Amsterdam 0,4%, Francfort et Lisbonne 0,3%, tandis que Milan reste stable. A New York vendredi, le Dow Jones a terminé sur un gain de 0,5% et le Nasdaq, de 0,3%.
'Les investisseurs devraient focaliser leur attention sur les 'décrets' du nouveau président Trump, qui pourraient être publiés sur un rythme aussi soutenu que ses 'tweets' ! ', prévient un analyste d'Aurel BGC.
'Alors que la nomination de son gouvernement a pris du retard, M. Trump devra expliciter ces prochaines semaines ses projets de baisse d'impôts, de dépenses d'infrastructures et de déréglementation de certains secteurs', poursuit-il.
Aucune donnée n'est prévue ce lundi, mais les prochains jours seront chargés sur ce front avec notamment les indices PMI flash, puis les indicateurs avancés et surtout une toute première estimation de la croissance du quatrième trimestre aux Etats-Unis.
Cette semaine sera aussi marquée, la poursuite de la saison des résultats, avec par exemple McDonalds, Boeing (NYSE:BA), Intel (NASDAQ:INTC), Caterpillar (NYSE:CAT) et Alphabet aux Etats-Unis, ainsi que Philips, Novartis (SIX:NOVN), Unilever (LON:ULVR), LVMH (PA:LVMH) et UBS en Europe.
Pour l'heure, Philips Lightning recule de 0,8% à Amsterdam, bien que la société d'équipements d'éclairage ait vu sa marge opérationnelle progresser l'année dernière grâce à des réductions de dépenses qui ont plus que compensé la baisse de ses ventes.
Roche (SIX:ROG) perd 0,8% à Zurich alors que le laboratoire pharmaceutique vient de lancer une nouvelle solution de diagnostic pour les maladies du sang telles que l'anémie ou la leucémie, faisant entrer sa filiale Roche Diagnostics sur le marché de l'hématologie.
Credit Agricole (PA:CAGR) lâche 2% à Paris, sanctionné pour l'annonce vendredi soir d'une dépréciation de l'écart d'acquisition de 491 millions d'euros sur sa filiale LCL, charge qui n'affecte ni la solvabilité, ni la liquidité de la banque.
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